Récupérer l’utilisation CPU d’un processus sous Linux
A des fins de supervision ou de debuggage, il est très pratique sur un système Linux de savoir récupérer le taux d’utilisation CPU d’un processus particulier.
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Lire cet articleÇa y est ! Nous avons mis en place, après des mois d’effort un outil de supervision et maintenant on est alerté, par mail, à chaque fois qu’un serveur ne répond plus ! Waouh ! Qu’est ce que c’est top…!!! Eh bien non, la supervision ce n’est pas cela, en tous cas ce n’est plus que cela… Les « machines » qui nous entourent (serveurs, routeurs, SAN, switchs, firewalls, etc…) ont gagné en fiabilité et il faut avouer que les pannes matérielles sont rares…en tous cas plus rares que les erreurs humaines ! La complexité de nos systèmes d’informations fait que le erreurs humaines sont plus fréquentes, par manque de compétences, par manque de documentation technique, par manque d’organisation ou par manque de sérieux tout simplement. Dans beaucoup d’organisations, tout ou partie du système d’information est sous-traitée et rares sont ceux qui en connaissent tous les tenants et les aboutissants… Alors la supervision, la vraie, est faite pour cela désormais
Lire cet articleI. Présentation Dans ce tutoriel, nous allons voir comment analyser les entrées et sorties disque sur un système Linux. La commande « iotop » (Input/ Output) non native à Linux nous permet en effet de vérifier les écritures (entrées) et lectures (sorties) sur notre disque. II. Installation de la commande Il nous faut déjà commencer par installer la commande qui n’est pas présente par défaut dans la plupart des cas : apt-get update apt-get install iotop III. Utilisation Ensuite nous pourrons simplement l’utiliser en saisissant « iotop » et voir ce que cela nous affiche : On voit donc la liste de nos processus avec plusieurs informations sur leur utilisation du disque. On voit également un total de l’utilisation tout en haut du tableau. Actuellement, aucun processus n’utilise le disque en lecture ou en écriture. On pourrais simuler une lecture du disque en exécutant la commande « tree » depuis la racine « / » qui va donc lister tous les répertoires du disques. On commence pour cela
Lire cet articleI. Présentation Dans ce tutoriel, nous allons apprendre à paramétrer un envoi de mail lors d’une connexion SSH à un serveur Linux. Cela peut être une solution simple et rapide pour savoir quand quelqu’un se connecte à votre serveur et cela en temps quasi réel (le temps d’envoi d’un mail). Nous allons voir que cette méthode peut s’appliquer à tous les utilisateurs se connectant en SSH,le plus intéressant à faire étant pour root car cela permet de superviser les connexions en SSH pour root et ainsi de détecter si il y a des connexions anormales. II. Le fichier .bashrc Chaque utilisateur possède un fichier « .bashrc » dans son « home » qui peut contenir, entre autre, des commandes exécutées lors de l’initialisation de son shell (ce qui se passe lors d’une connexion SSH). C’est de ce fichier que nous allons nous servir pour effectuer notre envoi de mail. Il suffit donc juste d’y placer les bonnes commandes. Note: On par ici du principe
Lire cet articleI. Qu’est ce que crawltrack ? Crawltrack est un service fonctionnant sous Linux qui permet de superviser votre site web. Il génère à la visite de votre page web des informations sur les visiteurs, le nombre de visiteurs durant une période , le nombre de hits (pages visitées ..). Il renseigne sur la façon dont les utilisateurs on joints votre site, par moteur de recherche ( google, yahoo), par entrée directe ou par lien sur un autre site. Crawltrack permet aussi de montrer les erreurs qui se sont produites sur vos pages/ sites et les téléchargements qui ont été effectués. Le second rôle de crawltrack est la sécurité de votre site web, il met à disposition des tests et des analyses rapportant les tentatives d’attaques sur vos sites. II. Pré-requis Un serveur apache pour accéder à l’interface web de crawltrack et à vos sites : apt-get install apache2 Un service php pour permettre aux scripts php de crawltrack de travailler
Lire cet articleI. Présentation : Comme vous le savez, Monit dispose d’une interface web qui permet de visualiser des informations sur les services et d’effectuer quelques tâches d’administration. Toutefois, on accède à cette interface par l’intermédiaire du protocole HTTP, ce qui n’est pas sécurisé. Afin de sécuriser l’accès, nous allons mettre en place l’utilisation du protocole HTTPS pour l’accès à l’interface web. Ceci engendre une modification de la configuration de Monit par l’intermédiaire du fichier « monitrc » et nous allons devoir générer un certificat SSL qui contiendra également la clé privée. Tout ça dans le but de sécuriser les échanges. II. Configuration de Monit : La configuration de Monit doit être légèrement modifiée afin d’indiquer qu’on souhaite activer le SSL, et, il faut également indiquer le chemin vers le certificat à utiliser. Pour cela, il faudra ajouter deux lignes au niveau du paramétrage de l’interface web, comme ceci : Ajoutez les deux lignes indiquées ci-dessous qui permettent respectivement d’activer le SSL
Lire cet articleI. Présentation : Dans le tutoriel de mise en place de l’outil de monitoring Monit, nous avons vu comment créer des identifiants de connexion directement au sein du fichier de configuration, mais également, en utilisant les comptes utilisateurs et les groupes du système Linux. Désormais, nous allons voir comment utiliser un fichier de type « htpasswd » c’est-à-dire que le fichier contiendra des identifiants (utilisateur + mot de passe) crypté en MD5. Ainsi, nos identifiants de connexion à l’interface de Monit seront protégés. II. Création du fichier : Avant de configurer Monit, nous allons créer des identifiants de connexion chiffrés dans un fichier nommé « password », se situant dans « /etc/monit », grâce à la commande « htpasswd ». Dans cet exemple, je crée un utilisateur nommé « florian » qui aura pour mot de passe « 123456 ». Voici la commande : htpasswd –m –c /etc/monit/password florian Lors de l’exécution de la commande, on vous demande un mot
Lire cet articleI. Présentation : Dans un autre tutoriel, nous avons vu la mise en place de Monit, c’est-à-dire l’installation et la configuration de cet outil de monitoring. Maintenant, nous allons voir l’interface web de Monit qui permet essentiellement de visualiser l’état des services et d’obtenir un bon nombre d’informations sur ces derniers. Toutefois, quelques tâches d’administration sont disponibles : – Désactiver/activer la surveillance c’est-à-dire le monitoring d’un service, – Forcer le contrôler de tous les services, – Visualiser le fichier de log de monit, – Arrêter l’interface web de monit. II. Accès à l’interface web : Tout d’abord, connectez-vous sur l’interface en utilisant l’adresse IP du serveur sur lequel monit est installez, en précisant le numéro de port que vous utilisez. Exemple : http://192.168.1.100:8080 Rappel : le numéro de port est définit dans le fichier de configuration « monitrc » par l’intermédiaire de la directive « set httpd port 8080 ». En ce qui concerne l’identifiant et le mot de passe,
Lire cet articleI. Présentation : Il est essentiel de surveiller l’état général de votre serveur, c’est-à-dire les processus, les programmes, les répertoires, les fichiers, etc… C’est ce qu’on appelle le monitoring système. Le but est d’indiquer à l’application ce qu’on souhaite surveiller et elle effectuera des contrôles réguliers, et lorsqu’une erreur sera rencontrée, une alerte sera envoyée. Une alerte peut être envoyée mais pas seulement, on peut effectuer une action sur le processus et même exécuter un script lorsqu’une erreur est détectée. Ces vérifications peuvent aller de la surveillance de la charge CPU à la vérification de la somme SHA-1 d’un fichier, ce qui permet une multitude de choix et une surveillance minutieuse. En fait, c’est un peu le même principe que de la supervision sauf que là on surveille uniquement la machine locale. Ce n’est pas un serveur qui ira surveiller d’autres serveurs comme on peut le faire avec un serveur de supervision. Dans notre cas, nous allons utiliser monit qui
Lire cet articleI. Présentation Filelight est une application Linux qui permet de représenter l’occupation du disque dur graphiquement, ce qui permet en un clin d’œil de détecter les répertoires qui l’encombre. Il est possible de se positionner à différents endroits du disque dur pour avoir une vision plus précise de la manière dont est occupée le disque dur. Petit utilitaire bien sympathique si vous souhaitez obtenir des informations de manière rapide sur les différents taux d’occupation de vos répertoires sur votre disque dur, notamment lorsque le disque dur est presque plein et qu’il est temps de faire du nettoyage ! II. Installer Filelight apt-get update (facultatif) apt-get install filelight III. Visualiser le taux d’occupation d’un répertoire Lorsque vous exécutez le logiciel, il vous affiche le taux d’occupation de manière globale, ce qui n’est pas très intéressant, mais si vous saisissez dans la zone de saisie en haut à droite un chemin (ou si vous cliquez sur « Open »), par exemple « / » vous
Lire cet articleI. Présentation Sous Linux, il est possible d’avoir un aperçu sur l’état des différents processus en cours grâce à la commande « top » mais il existe aussi l’utilitaire htop qui permet de visualiser, je dirais même de gérer les processus de manière interactive. Grâce à lui vous pourrez rechercher, tuer les processus et mêmes les trier selon un critère (utilisation de mémoire, de CPU,…), et d’autres fonctions disponible toute via l’interface de htop. II. Installation Pour installer htop, assurez vous d’être en mode Super-Utilisateur pour avoir l’autorisation d’installer le paquet et saisissez la commande suivante : apt-get install htop III. Exécuter htop en mode normal Il suffit d’exécuter la commande htop htop IV. L’interface Dans la partie haute de l’interface on peut voir l’utilisation du CPU en pourcentage, l’utilisation de la mémoire en Mo par rapport à la totalité de mémoire disponible ainsi que la mémoire swap utilisée. Le temps depuis lequel le système est démarré est indiqué également.
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