Comment installer SQL Server 2016 ?
Comment réaliser l’installation de SQL Server 2016 ? Tutoriel pas à pas pour installer une instance SQL sur Windows Server.
Lire cet articleComment réaliser l’installation de SQL Server 2016 ? Tutoriel pas à pas pour installer une instance SQL sur Windows Server.
Lire cet articleMicrosoft a annoncé aujourd’hui que la version finale SQL Server 2014 sortira en Avril prochain, une surprise puisque l’application était en version CTP 2 (Community Technology Preview). Microsoft annonce également que la version RTM (Release To Manufacturing) est disponible pour ceux qui souhaitent la tester. Vers quoi se tourne cette nouvelle version ? L’édition 2012 était focalisée sur la haute disponibilité et notamment l’utilisation de SQL Server comme fondation d’applications hypercritiques. L’édition à venir quant à elle focalise davantage ses nouveautés sur la performance et le Cloud hybride, ce qui n’est pas une surprise. SQL Server 2014 : Les performances Les fonctions « In-Memory OLTP » seront présentes dans l’édition « Entreprise » de SQL Server 2014, dommage car cette fonctionnalité semble très intéressante et cela fait 4 ans que Microsoft travaille sur le développement des technologies In-Memory. Microsoft part du principe qu’il n’est pas forcément utile de chercher à placer l’ensemble d’une base de données en mémoire, comme peuvent le faire
Lire cet articleI. Présentation Dans ce tutoriel, nous allons apprendre à importer des données avec la commande « LOAD DATA INFILE » qui permet d’aller chercher des données dans un fichier txt, csv ou autre pour les importer dans une structure de table SQL déjà construite. Dans un précédent tutoriel, nous avions déjà vu comment importer des données dans une base de données MySQL à l’aide d’un fichier au format « .sql » qui doit contenir un ensemble de commande du langage SQL. L’avantage de la commande LOAD DATA INFILE est que le fichier lu ne doit pas avoir un contenu de commande SQL pour que les informations soit importées. Pour exemple, un fichier SQL qui peut être importé doit contenir des requêtes INSERT de ce type INSERT INTO Table (champ1, champ2) VALUES ( « valeur1 », « valeur2 »); Ce qui peut être compliqué si les données à importer ne sont pas présentée et structurée en SQL. La commande LOAD DATA INFILE permet elle d’importer des informations présentées comme
Lire cet articleI. Présentation Par défaut, on se connecte à une base de données avec l’utilisateur « Root » qui dispose de tous les privilèges, ce qui peut être un trou de sécurité important si vous vous faites pirater votre serveur. Fort heureusement, il est possible de créer plusieurs utilisateurs à partir de l’interface PhpMyAdmin, mais pas seulement. En effet, grâce à la console MySQL il est possible de gérer les utilisateurs c’est-à-dire d’en créer, de les modifier et de les supprimer, de manière simple et efficace. C’est ce que nous allons voir dans ce tutoriel. II. Informations sur le serveur et les utilisateurs Serveur : localhost Serveur web : WAMP Utilisateur : root Utilisateur à créer : neoflow, flo, test et admin III. Exécutez la console Avec une Invite de commandes, se positionner dans le répertoire contenant « mysql.exe » : cd « c:\wamp\bin\mysql\mysql5.1.36\bin » Exécutez “mysql.exe” en utilisant des paramètres d’authentification SANS mot de passe : mysql.exe –u root Exécutez “mysql.exe” en
Lire cet articleI. Présentation La gestion des droits est incontournable en matière de sécurité et pour définir les actions que l’utilisateur a le droit de faire et de ne pas faire. En SQL, il y a 4 droits/privilèges principaux que l’on peut attribuer à un utilisateur. Il peut avoir le droit de sélectionner des données dans des tables grâce au « SELECT », d’ajouter des valeurs dans les tables grâce à « INSERT » , de supprimer des données grâce à la commande « DELETE » et d’en mettre à jour en utilisant « UPDATE ». Il est possible de gérer ces droits via l’interface PHPMyAdmin mais aussi à partir de la console MySQL, c’est ce que nous allons dans ce tutoriel. II. Informations sur le serveur et la base de données utilisée Serveur : localhost (127.0.0.1) Serveur web : WAMP Base de données : neoflow_bdd Table : table1 Utilisateurs : root et invite III. Exécutez la console Avec une Invite de
Lire cet articleI. Présentation Les alias en SQL permettent de renommer une colonne c’est-à-dire le nom d’un champ indiqué dans le SELECT ou le nom d’une table indiquée dans le FROM. L’intérêt est de rendre plus lisible certaines requêtes et également d’améliorer l’exploitation du résultat en PHP. II. Syntaxe de l’alias pour un champ SELECT champ1 AS nom_alias FROM table1 ; Vous pouvez trouver les alias inutiles lorsque la requête est simple mais lorsque la requête devient conséquente et qu’elle contient de nombreux champs et tables, les alias deviennent incontournables pour s’y retrouver facilement. III. Syntaxe de l’alias pour une table SELECT champ1 FROM table1 AS nom_alias ; Le principe est le même pour faire un alias sur un champ ou sur une table, il suffit d’ajouter « AS » à la suite du nom du champ ou du nom de la table que l’on souhaite renommer. IV. L’impact d’un alias sur un champ Lorsque vous effectué un alias sur le nom
Lire cet articleI. Présentation Le modèle physique des données (MPD) d’une base de données permet d’avoir une représentation graphique de la structure d’une base de données et ainsi de mieux comprendre les relations entre les différents tables. Il permet d’avoir un point de vue global sur l’ensemble de la base de données. Nous utiliserons la base de données suivantes pour créer notre MPD : T_Batiments(Bat_Num,Bat_Nom); T_Fabricants(F_Num,F_Nom); T_Switchs(Sw_Num,#Sw_NumFabr,#Sw_NumBat,Sw_Modele,Sw_NbPortsMb,Sw_NbPortsGb); Cette base de données a pour but de répertorier les switchs des fabricants pour ensuite les implémenter dans différents bâtiments. II. Comment créer un MPD ? Dans un MPD, on crée les tables dont on met le nom dans l’en-tête, ensuite à l’intérieur de ces tables on répertorie l’ensemble des champs qu’elles contiennent. Dans un second temps, il faut souligner les champs qui sont des clés primaires et mettre un “#” devant les champs qui sont des clés étrangères. Pour les clés étrangères ce n’est pas tout, il faut montrer, à l’aide d’une flèche vers
Lire cet articleI. Présentation Nous allons voir dans ce tutoriel comment ajouter des valeurs dans une table grâce à des requêtes écrites dans un script SQL.Comme pour les tutoriels précédents la base de données présentée dans ce MPD est utilisée. Voici pour rappel le MPD de cette base de données : II. Quel est la requête utilisée pour ajouter des valeurs dans une table ? La requête utilisée pour ajouter des valeurs dans une table est la requête INSERT INTO dont la structure est la suivante : INSERT INTO nom_table ( champ1 , champ2 ) VALUES (‘valeur1’,’valeur2’), (‘valeur3’,’valeur4’); “Valeur1” et “Valeur3” correspondent à la valeur du “champ1”. Chaque ligne représente un enregistrement différent. Chaque ligne d’enregistrement doit se terminer par une virgule sauf pour la dernière qui doit se terminer par un point-virgule. Si vous indiquez 2 champs dans le “INSERT INTO” vous devez obligatoirement ajouter une valeur pour ces 2 champs à chaque enregistrement. Il doit y avoir une virgule entre
Lire cet articleI. Présentation Dans ce tutoriel nous allons voir comment effectuer des requêtes SQL dans une base de données pour obtenir des informations sur ce que contiennent les tables qui la compose. Nous commencerons par des requêtes très simples pour ensuite les complexifier. Les requêtes seront effectuées dans la base de données utilisée pour l’ensemble des tutoriels SQL, c’est à dire celle-ci : lien. Vous trouverez le tutoriel pour créer le script SQL de cette BDD en cliquant sur ce lien, et le tutoriel pour ajouter des valeurs à cette base de données à cette adresse : lien Pour rappel, voici le MPD de cette base de données : Pour exécuter les requêtes accédez à PhpMyAdmin puis à gauche dans l’arborescence cliquez sur la base de données (dans notre cas « implementation_switchs ») et ensuite dans le menu cliquez sur « SQL ». II. Qu’elle est la structure de base d’une requête SQL ? SELECT champ1 , champ2 FROM table1 WHERE champ1 = 0
Lire cet articleI. Présentation Il peut arriver que vous ayez à faire face à l’erreur « Table is marked as crashed and should be repaired » lors de la manipulation des tables MySQL. II. Pourquoi cette erreur Cette erreur et avertissement peut avoir plusieurs sources. Elle indique la table en question est corrompue et qu’elle doit être réparée. Cela peut être dû à un problème d’espace disque sur la partition où se situe la base de données, à un problème d’extinction de la base de données lors d’une lecture ou d’une écriture d’informations ou alors plus couramment à un problème physique sur le support de stockage, une extinction non prévue, etc .. III. Réparer une table corrompue Nous pouvons le faire grâce à PhpmyAdmin dans un premier temps. Il faut se rendre dans le PhpMyAdmin pour réparer la table (l’opération est aussi faisable en ligne de commande sur le serveur MySQL). On doit ensuite se loguer puis se rendre dans la base de données
Lire cet articleI. Présentation L’opérateur LIKE est un opérateur SQL qui permet d’effectuer une comparaison partielle, ce qui peut être une utile pour effectuer une recherche dans la base de données. Pour cela, LIKE s’associe à « % » qui remplace n’importe qu’elle chaîne de caractères et « _ » qui remplacement un seul et unique caractère. II. Exemples A. Script de la base de données pour les exemples Si vous souhaitez utiliser la même base de données que moi pour les exemples de ce tutoriel, utilisez le script SQL ci-dessous : CREATE DATABASE France ; USE France ; CREATE TABLE Villes ( ID INT NOT NULL PRIMARY KEY AUTO_INCREMENT , Vil_Nom CHAR(20) NOT NULL ) ENGINE = InnoDB CHARACTER SET latin1 COLLATE latin1_bin ; INSERT INTO Villes ( Vil_Nom ) VALUES (« Auxerre » ), (« Avranches » ), (« Bordeaux » ), (« Brest » ), (« Caen » ), (« Cannes » ), (« Dijon » ), (« Lille » ), (« Lyon » ), (« Marseille » ), (« Montpellier » ), (« Nancy » ), (« Nantes » ), (« Paris » ), (« Reims » ), (« Rennes » ); Cette base
Lire cet articleI. Présetation Le MCD (Modèle Conceptuel de Données) a été créé pour normaliser l’écriture des données. C’est une représentation des données et de leurs interactions. II. Pourquoi normaliser les données L’intégration de la gestion des données dans le système d’informations nécessite d’avoir une représentation graphique de ces données. Le fait de normaliser cette représentation permet de rendre compréhensibles à tous un ensemble de données. III. Le contexte d’un MCD La construction d’un MCD débute souvent par un compte rendu d’un besoin de répertoriage des données. Une entreprise souhaite inventorier et répertorier l’ensemble de ses switchs et leur bâtiment d’implantation. Un switch dispose de plusieurs caractéristiques : son numéro d’identification, son modèle, le nombre de port Mbit/s et Gbit/s dont il dispose. Un switch ne peut être implanté que dans un seul bâtiment à la fois (logique). La position d’un switch dans un bâtiment est précisée avec le numéro du bâtiment et le nom du bâtiment du bâtiment où il est
Lire cet articleI. Présentation La traduction du MCD vers le MLD a pour but de rendre plus clair les liaisons entre les entités. Le MLD permet de mettre en évidence les associations n,n qui donnent alors naissance à des entités à part entière. Il permet aussi de mettre en évidence les clés étrangères et donc les interactions entre les entités. La construction du MLD se fait à partir de la lecture du MCD. Chaque Entité donne une ligne où l’on détaille la clé primaire par le nom de l’attribut qui sera alors souligné. Les clés étrangères sont identifiées par un # avant le nom de l’attribut. II. Exemple Il s’agit des entités T_Switchs, T_Batiments et T_Fabricants T_Batiments(Bat_Num, Bat_Nom); T_Fabricants(F_Num, F_Nom); T_Switchs(Sw_Num, #Sw_NumFabr, #Sw_NumBat, Sw_Modele, Sw_NbPortsMb, Sw_NbPortsGb); Les attributs Sw_NumFabr et Sw_NumBat sont des clés étrangères des attributs F_Num et Bat_Num. Elles indiques une liaison entre ces tables. Plus simplement, un switch est fabriqué par le fabricant X et est implanté dans le
Lire cet articleI. Présentation Après avoir vu de manière théorique le MPD d’une base de données (BDD) dans le tutoriel précédent, nous allons voir comment créer la base de données de l’exemple, avec toutes les tables qu’elle contient, cela grâce à un script SQL. Pour ceux qui n’aurait pas vu le tutoriel sur le MPD, suivez ce lien II. Modèle physique des données de la BDD Pour rappel, cette base de données gère l’implantation de Switchs dans différents bâtiments. Les switchs ont une liaison avec un fabricant (Cisco, HP, …), ont une description les concernant et sont ensuite liés avec le bâtiment dans lequel ils sont implantés. Un switch peut être installé dans un seul et unique bâtiment mais un bâtiment peut contenir plusieurs switchs. Un switch peut aussi être référencé mais pas encore implanté. Toutefois, un switch doit obligatoirement avoir un fabricant. Un bâtiment peut ne pas être lié à un switch mais être malgré tout enregistré dans la table. III.
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