Comment configurer un reverse proxy HAProxy sur Debian 12 ?
Tutoriel sur l’installation et la configuration d’un reverse proxy HAProxy sur un serveur Linux (Debian 12), avec un frontend et deux serveurs web en backend.
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Lire cet articleDans ce tutoriel, nous allons apprendre à fusionner des PDF sous Linux (Debian, Ubuntu, etc.) en ligne de commande avec l’outil gratuit PDFtk.
Lire cet articleOnePlus a dévoilé une nouvelle application baptisée Clipt dont l’objectif est de faciliter le partage de contenus entre tous les types d’appareils.
Lire cet articleConseils et astuces pour créer un bon logo pour son application et sa marque, que ce soit pour Android ou iOS. Des services sont à connaître pour vous aider.
Lire cet articleTutoriel d’initiation au PXE sous Linux avec le déploiement par le réseau de Debian Wheezy Netboot sur un poste client, via syslinux et dnsmasq.
Lire cet articleI. Présentation Depuis l’arrivée d’Android Jelly Bean, le lecteur Flash Player n’est plus présent sur Google Play ce qui empêche de profiter des joies du Flash sur son appareil Android. Comme vous le savez probablement, l’installation des applications ne doit pas forcément passer par le store de Google, nous pouvons donc installer manuellement Flash sur l’appareil. Tous les appareils Android où la version du système est supérieure à 4.0 sont II. Procédure Pour récupérer le package APK de l’application Flash, nous allons aller dans les archives du site d’Adobe. Sur votre appareil, rendez-vous à l’adresse suivante : http://helpx.adobe.com/flash-player/kb/archived-flash-player-versions.html Descendez dans la page jusqu’à arriver sur la section « Flash Player for Android 4.0 archives » puis téléchargez la version la plus récente disponible : Une fois le téléchargement effectué, installez l’application. Toutefois, vous devez autoriser l’installation d’applications depuis des sources inconnues sur votre appareil. Pour cela, dans les Paramètres, Sécurité, cochez l’option Sources inconnues. Lorsque Flash sera appelé dans votre navigateur, s’il
Lire cet articleDepuis quelques jours, l’application Office 365 est disponible sur Google Play pour 102 pays dont la France après avoir était disponible sur le Store américain. Grâce à cette arrivée, Office 365 est désormais présent sur toutes les plate-formes ! Bien que l’application soit gratuite, je vous rappelle tout de même qu’Office 365 est un service payant proposé par Microsoft avec un système d’abonnement mensuel. Toutefois, avec un seul et unique abonnement vous pouvez accéder à l’ensemble du pack Office sur plusieurs équipements différents. Heureusement. En ce qui concerne l’application en elle-même, elle pèse 27 Mo, elle est disponible en 33 langues et requiert au minimum Android 4.0. De manière générale, voici ce que vous pourrez faire avec Microsoft Office 365 : – Accédez aux données stockées dans le Cloud (SkyDrive, SkyDrive Pro et Sharepoint) – Utiliser Word, Excel et Powerpoint (y compris les formes, SmartArt, etc.) – Création de documents et possibilité de les commenter – Edition de documents en
Lire cet articleI. Présentation Dans ce tutoriel, nous allons apprendre à utiliser l’outil MSMTP. Ce petit outil qui s’installe sur les distributions Linux permet la gestion du multi-comptes mails en ligne de commande (une sorte de Outlook ou Thunderbird CLI). Il est important de souligner qu’il ne sert qu’à envoyer des mails depuis plusieurs comptes différents (par exemple, un Gmail et un Yahoo) et non à en recevoir. II. Installation de l’outil Nous commençons donc par installer l’outil sur notre machine Linux : apt-get update && apt-get install msmtp III. La configuration Il se peut qu’il n’y ait pas de création de fichier de configuration par défaut, nous allons donc le créer manuellement. Il faut néanmoins savoir où le créer. Par défaut, le fichier principal de configuration sera « /etc/msmtprc ». Cependant, si un fichier « .msmtprc » se trouve dans le « home » d’un utilisateur, celui-ci remplacera le fichier de configuration principal. Cela nous permet d’avoir des configurations différentes selon les utilisateurs. Nous créons ici le
Lire cet articleI. Présentation Un serveur de temps permet de synchroniser l’horloge locale des ordinateurs du réseau avec l’horloge du serveur. Cela se fait à l’aide du protocole NTP qui utilise le port 123. Sous Linux, cela se fait à l’aide du paquet ntp, nous allons voir comment l’installer et l’utiliser. II. Installation du paquet ntp Pour bénéficier de la dernière version disponible, mettez à jour votre liste de paquets : apt-get update Ensuite pour installer le paquet ntp saisissez la commande : apt-get install ntp Note : Vous devez être en super-utilisateur pour exécuter ces commandes ou les précéder de « sudo ». III. Arrêter – Démarrer le service NTP Pour démarrer le service NTP saisissez la commande : /etc/init.d/ntp start Pour arrêter le service NTP saisissez la commande : /etc/init.d/ntp stop IV. Configuration du serveur NTP La configuration du paquet ntp se fait dans le fichier /etc/ntp.conf server 0.ubuntu.pool.ntp.org server 1.ubuntu.pool.ntp.org server 2.ubuntu.pool.ntp.org server 3.ubuntu.pool.ntp.org Ces 4 lignes indiques les serveurs
Lire cet articleI. Présentation Sous Linux, une simple commande peut avoir des effets dévastateurs sur les serveurs, surtout quand ceux-ci sont en production. Avec un petit utilitaire qui se nomme molly-guard, nous allons pouvoir nous couvrir contre certaines d’entre elles lorsque nous sommes connecté en SSH sur un serveur. Molly-guard va en effet demander une confirmation à l’utilisateur lorsque celui-ci souhaitera exécuter les commandes suivantes : shutdown halt reboot poweroff II. Procédure Nous pouvons facilement installer molly-guard sous Linux avec la commande suivante : apt-get update && apt-get install molly-guard La confirmation que demande molly-guard est le nom du serveur, voila à quoi ressemble cette demande : Il faut ensuite saisir le nom de l’hôte sur lequel nous sommes connecté en SSH pour que la commande passe correctement.
Lire cet articleI. Présentation Dans ce tutoriel, nous allons voir comment créer un partage de fichiers rapidement avec Samba, le but est donc ici de partager un ensemble de fichiers présents sur un poste sur tout un réseau. Nouveau tutoriel Samba disponible : Serveur de fichiers Debian : installer et configurer Samba 4 On va supposer que le dossier que nous voulons partager est « /media/partage » mkdir /media/partage chmod 0777 /media/partage On peut également créer un dossier « test » dans ce dossier partagé pour vérifier que nous voyons bien son contenu plus tard : mkdir /media/partage/test1 II. Installation de Samba On commence donc par installer samba qui va nous permettre de rendre ce dossier accessible sur le réseau : apt-get install samba La configuration de samba se trouve dans « /etc/samba ». On fait directement une copie du fichier de configuration initial pour s’assurer d’avoir quelque chose à récupérer en cas d’erreur : mv /etc/samba/smb.conf /etc/samba/smb.conf.bak Nous allons ensuite recréer un fichier de configuration vierge qui
Lire cet articleI. Présentation Un serveur LEMP (Linux EngineX MySQL PHP) est un serveur web comportant 4 composants qui sont : Un système d’exploitation Linux (wheezy dans notre cas) NginX pour gérer la communication entre le serveur et les clients. MySQL pour toute la partie base de données. PHP pour rendre le tout dynamique. Grâce à un serveur LEMP vous pouvez créer un site web dynamique grâce au PHP et à la base de données MySQL, étant donné qu’il contient tout les éléments nécessaires à la mise en place d’un site web dynamique. Un serveur LEMP regroupe plusieurs éléments qui en font un service complet et stable. Il faut savoir qu’un serveur LEMP est différent d’un serveur LAMP seulement car il utilise NginX en serveur web plutôt qu’Apache. NginX est un serveur web de plus en plus utilisé notamment pour ses performances par rapport à Apache 2. II. Mise à jours des paquets On va commencer par mettre à
Lire cet articleI. Présentation Back in Time est un petit outil disponible sur les distributions Debian Linux qui permet de backuper de façon automatique les données d’un poste et cela de façon trés simple. Il faut savoir que Back In Time fonctionne actuellement sur deux bureaux : Gnome et KDE. II. Installation Nous allons commencer par installer l’outil de 35Mo qui nous fournira une interface graphique afin de configurer nos backups. On ouvre pour cela un terminal avec les droits administrateur et on saisi la commande suivante : apt-get update && apt-get install backintime-gnome Note: Le tutoriel est ici fait sur un bureau GNOME mais pour KDE, la commande sera la suivante : apt-get update && apt-get install backinttime-kde4 On trouvera ensuite notre outil « Back in Time » dans la partie « Outils système » : Dans le cadre du tutoriel et pour éviter de se faire embêter, nous allons ici le lancer ne root mais la gestion particulière des droits peut certainement vous amener
Lire cet articleI. Présentation Récemment, nous avons vu Shred qui permettait de supprimer définitivement un fichier sous Ubuntu, en le déchiquetant. Toutefois, ce dernier ne permettait pas la suppression de dossiers ou d’arborescences, c’est pourquoi dans ce tutoriel nous allons voir « Wipe » qui le permet. Il faut manipuler Wipe avec précaution parce que si vous supprimer définitivement une arborescence en faisant une erreur de manipulation, cela peut être catastrophique pour votre machine. II. Installation Contrairement à Shred, Wipe n’est pas intégré à la distribution Ubuntu, vous devez donc l’installer. Comme ceci : apt-get update apt-get install wipe III. Utilisation Une fois l’installation terminée, nous allons pouvoir commencer à utiliser Wipe. Avant de commencer, créer une arborescence de test contenant des fichiers. Dans mon cas, j’ai créé un répertoire nommé « MesFactures » dans lequel sont stockées des factures « ma_facture_1.txt », « ma_facture_2.txt », etc… arbo wipe MesFactures/ Si vous utilisez la commande indiquée ci-dessus, Wipe vous retournera un
Lire cet articleI. Présentation Lorsqu’on supprime un fichier sous Linux, et notamment Ubuntu, en utilisant la commande « rm » le fichier n’est pas totalement supprimé. Certes, suite à la suppression du fichier l’espace disque disponible a augmenté puisque qu’un fichier a été supprimé, mais, avec des logiciels appropriés il est possible de retrouver, de restaurer ces données. Dans le cas où les données contenues dans le fichier sont confidentielles, cela peut devenir embêtant, voir inquiétant si une personne réussie à récupérer le fichier que vous pensiez avoir supprimé définitivement. Heureusement, un utilitaire nommé « Shred » permet de déchiqueter un fichier dans le but de le supprimer puis de réécrire à son emplacement des données aléatoires, appelées « déchets ». Le seul inconvénient de Shred c’est qu’il permet uniquement le déchiquetage de fichiers mais pas pour un répertoire ou une arborescence. II. Utilisation Sur votre machine Ubuntu, vous n’aurez pas besoin d’installer de paquets supplémentaires puisque Shred est compris dans la
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