Puisque la Russie doit se passer de Windows, elle va se tourner vers Linux
Dans le cadre de la guerre entre l'Ukraine et la Russie, et plus largement du conflit entre la Russie et l'occident, les russes doivent trouver des solutions face aux différentes sanctions. Un peu, comme nous devons le faire à l'inverse également.... Face aux sanctions imposées par Microsoft, la Russie se doit de trouver une alternative à Windows.
Petit à petit, Microsoft a arrêté ses activités en Russie et la firme de Redmond a également bloqué les différents flux de téléchargement. En effet, Microsoft a d'abord suspendu ses activités commerciales, en arrêtant de commercialiser Microsoft Office et Windows, depuis le 4 mars 2022.
Ensuite, Microsoft a pris la décision de suspendre la diffusion des mises à jour pour Windows 10 et Windows 11 sur les postes de travail situés en Russie. Ainsi, depuis le 21 juin 2022, les téléchargements sur le site et les serveurs de Microsoft sont bloqués pour la Russie. Même s'il existe des manières de contourner ces restrictions, avec un VPN par exemple, cela n'arrange pas du tout les Russes.
En réaction à ces diverses sanctions, le ministère du Développement Numérique russe souhaite créer de nouvelles règles pour acter la séparation vis-à-vis de l'utilisation des produits Microsoft. Pour cela, la solution est déjà identifiée : Linux. Sans surprise, finalement. Reste à savoir quelle distribution Linux sera mise en avant... Ou si une distribution "Made in Russie" sera créée. Quoi qu'il en soit, la transition ne s'annonce pas évidente, car en Russie comme ailleurs, Windows est très fortement présent dans tous les secteurs.
Pourtant, le gouvernement souhaite clairement passer à la vitesse supérieure et des arguments sont avancés pour inciter les éditeurs à proposer des versions compatibles Linux ! En effet, il n'y a que les éditeurs de logiciels qui feront l'effort de proposer une version compatible Linux qui pourront profiter d'avantages fiscaux et d'un accès aux marchés publics. Le ton est donné.
Voilà ce qu’on appelle la cyberguerre
Vivement qu’on fasse pareil en France.
Car c’est un secret de polichinelle que pas mal de failles Microsofts sont en fait des backdoors pour la nsa.
Hors les USA n’hésitent à mettre à disposition de leur entreprises leur ressources en matières de renseignements d’état.
Je revoie encore, Gaz de France qui aprés sa fusion avec SUEZ, pour finalement devenir ENGIE se met à faire le coq et déclarer qu’ils sont la deuxième boite énergétique mondiale et qu’ils partent à l’assaut du marché américain.
Ils se sont rétamé …
Déjà que dans le domaine de l’énergie, les USA font la guerre pour apporter la démocratie, c’était chercher le bâton pour se faire battre.
Si en plus le réseau ENGIE est basé sur OFFICE 365, on a un sanglier qui se présente devant une usine de charcuterie.
Le monopole de Microsoft n’est pas naturel et logique. Microsoft propose des forfaits hyper-avantageux pour les centres de formations en info. Ancien élève de TSSR, j’ai toujours un compte à vie pour les licences crosoft.
Résultat :
– Dans le cadre que cette formation, on n’a fait que du windaube, linux était utilisé uniquement pour des serveurs en CLI, comme si y’avais pas de GUI sur linux ??
Les seules applications qu’on a eu en linux étaient GLPI et Pfsense (bien que je préfère ipfire qui est multiarch), par ce que pas de boite commerciale pour imposer son produit.
Donc si Avast avait le même programme commercial pour étudiants que Crosoft on aurait pas du pfsense mais du Avast [ solutions ].
Après l’OS.
Phase suivante : le hardware.
Car là aussi des bacdoors made in and for usa.
De même que les usa exigent une backdoor dans le chiffrement de bouts en bouts ils veulent aussi une backdoor hardware chez intel/amd par exemple.
Seuls les pc d’état américains ont l’option dans leur bios de désactiver cette fonctionalité qui tourne sans os, juste avec la pile sur la carte mère.
Et la solution sera donc un pross open source. Vive le futur Risc-V aussi longtemps qu’il sera open source !