Configuration avancée de MDT 2013
Sommaire
- I. Présentation
- II. Un peu de théorie
- III. Étude des fichiers de configuration Bootstrap.ini et CustomSetting.ini
- IV. Aller plus loin avec CS.ini : Quelques Trucs et Astuces
- A. Ne pas créer la partition additionnelle d'amorçage
- B. Affecter des valeurs dynamiques aux variables MDT
- C. Activer les mises à jour Windows Update, mais bloquer des correctifs indésirables
- D. Masquer l'explorateur durant le déploiement
- E. Définir le service de surveillance des déploiements MDT (Monitoring)
- F. Ajouter des administrateurs locaux
- G. Activer la journalisation dynamique des déploiements
- Annexes - Clés d’installation des clients KMS
I. Présentation
Pour faire suite au tutoriel précédent sur vos débuts avec MDT 2013, je vous propose d'entrer un peu plus dans les détails de la configuration associée à cette solution de déploiement très flexible. Le but recherché étant de réduire au maximum les actions lors de l'installation.
Je ne vais pas dresser l'apologie de MDT, mais je suis intimement convaincu que derrière cet air de complexité, se cache un outil aux capacités presque sans limites et vos efforts pour l'appréhender seront certainement récompensés rapidement. Je reconnais que les premiers contacts avec MDT peuvent être déconcertants et on peut être découragé certains d'entre vous, mais je vous conseille de persévérer, car la communauté est toujours plus active, de jour en jour. En ce qui me concerne, depuis de nombreuses années, j'ai relégué le clonage et la multiplication des masters à de vieux souvenirs. Et avec MDT, cette époque est bien révolue, et je suis persuadé que vous n'aurez surtout plus l'envie d'y revenir…
Ce tutoriel a donc pour but de vous expliquer des concepts avancés afin de comprendre et maitriser la configuration des fichiers CustomSettings.ini et bootstrap.ini et introduire une éventuelle extension vers la base de données. Je reconnais que le sujet est plutôt vaste et qu'il existe d'autres angles d'approche, plus synthétiques, comme par exemple cet article ou un article TRÈS pointu comme celui-ci
Le plus délicat pour moi était donc de choisir la position du curseur de complexité que je souhaitais vous présenter. La marche de progression est peut-être un peu haute et veuillez donc m'excuser par avance pour ces choix arbitraires. J'espère que chaque lecteur y trouvera son compte, et à défaut de réponse, des pistes pour avancer dans ces investigations ou l'apprentissage de MDT.
II. Un peu de théorie
Une fois de plus, avant d'aborder le vif du sujet, il convient d'insister sur quelques points importants des mécanismes MDT. Précédemment, vous avez constaté que le MDT utilise de nombreux scripts vbs, wsh et fichiers .xml afin de gérer les différents cas de figure possibles, mais rassurez-vous, il ne s'agit surtout pas d'aller modifier ces fichiers. Même les spécialistes ne s'y aventurent que rarement, en dernier recours, et je vous assure qu'il y a une grosse marge de manœuvre avant d'en arriver là.
A. Les variables ou propriétés
Ce qu'il faut en premier lieu comprendre, c'est que les différents scénarios MDT réagissent en fonction de "variables", dont certaines sont positionnées dynamiquement selon l'environnement détecté et d'autres, plutôt destinés, à modifier le comportement par défaut des séquences de taches. On parle aussi de "propriétés" pour désigner ces variables. Ne vous offusquez pas, mais pour ma part, j'ai pris l'habitude de parler de "directive" pour désigner une variable, ou une propriété ET sa valeur.
Nous verrons qu'il est également possible de déclarer des propriétés personnalisées et/ou des valeurs dynamiquement calculées.
Vous trouverez une description sur chacune de ces variables en sollicitant l'aide intégrée à la console MDT via [F1] ou la documentation "Toolkit Reference.docx" associée au téléchargement de MDT. Accrochez-vous, le document frise les 500 pages !...
Si vous n'êtes pas persuadé de cette richesse, je vous invite à utiliser l'outil fournit ici par l'équipe Microsoft "deploymentguys", comme ceci :
.\DeclareProperties.ps1 -deploymentshare C:\DeploymentShare -inifile C:\DeploymentShare\Control\CustomSettings.ini -ztigatherfile C:\DeploymentShare\Scripts\ZTIGather.xml -outputFile MDTVariables.txt
On obtient un fichier d'un peu plus de 1000 lignes, soit un potentiel équivalent de variables. Je ne vais donc pas en dresser une liste exhaustive, mais plutôt essayer d'aller à l'essentiel.
Ces variables et leurs valeurs sont positionnées et exploitées durant les différentes phases et tout au long des traitements de scénarios MDT. Elles sont donc présentes en mémoire, mais également stockées dans le fichier "%SYSTEMDRIVE%\MININT\SMSOSD\OSDLOGS\VARIABLES.DAT" afin de survivre aux redémarrages. A des fins de débogage, sachez que contrairement aux apparences, ce fichier est de format "xml". La lecture est un peu rude, mais reste tout à fait compréhensible sous réserve d'utiliser un éditeur adapté ou Internet Explorer:
<?xml version="1.0"?> <MediaVarList Version="4.00.5345.0000"> <var name="LOGPATH"> <![CDATA[D:\MININT\SMSOSD\OSDLOGS]]> </var><var name="DEBUG"> <![CDATA[FALSE]]> </var><var name="SMSTSLOCALDATADRIVE"> <![CDATA[D:]]> </var>
B. Valorisation et traitement
Dans les grandes lignes, on peut considérer que les variables MDT sont valorisées successivement :
- durant la phase de collecte (exécution du script "ZTIGather.wsf") chargée de détecter l'environnement en fonction du contexte.
- durant la lecture du fichier Bootstrap.ini
- durant la lecture du fichier unattend.xml
- durant la lecture du fichier CustomSettings.ini
- durant le traitement de la base de données
- durant l'exécution d'une séquence de tache
A des fins de tests ou d'investigations, il est possible d'évaluer les variables traités par le script de collecte via la commande suivante :
cscript ZTIGather.wsf /debug:TRUE /inifile:Settings.ini
Bien que marginal, ou pour le moins très ponctuel, sachez qu'il est également possible de stipuler des variables lors de l'exécution du script "Litetouch.vbs".
Par exemple:
\\WDS-MDT\DeploymentShare$\Scripts\Litetouch.vbs /DeploymentType:REFRESH /SkipDeploymentType:YES /OSDComputerName:PC0001
Ou pour accéder directement à une séquence de tache particulière :
\\WDS-MDT\DeploymentShare$\Scripts\Litetouch.vbs /TasksequenceID:IdentifiantDeLaTache
Sachez qu'il est aussi possible d'exploiter plusieurs configurations, ou variantes de CustomSettings.ini
- Via le script d'initialisation, soit "LiteTouch.vbs /RulesFile:"\\CheminDuCS.ini"
- Au sein d'une séquence de taches, au niveau de "Gather local only"
Les possibilités sont tellement vastes, que la tâche la plus compliqué est de choisir la technique qui vous convient le mieux parmi toutes celles que le MDT peut proposer.
En fait, pour les cas le plus courants, la configuration de MDT passe essentiellement par les fichiers "bootstrap.ini" et "CustomSetting.ini" présents par défaut dans le dossier "\Control" de la structure MDT. Nous allons voir que ces fichiers de configuration, (Rules Files) sont composés de sections destinées à gérer des plusieurs déclinaisons de traitement.
Traitement du CustomSetting.ini :
La manipulation de ces fichiers est assez aisée au début, mais cette approche montre rapidement ses limites lorsque le nombre de déclinaison augmente. C'est pour cette raison que MDT propose d'associer une base de données de type SQL Server. Ce complément facultatif, permet d'étendre les possibilités de MDT et affiner les différents scénarios. L'un des premiers intérêts est d'associer des noms de machine en fonction d'un identifiant unique tel que l'adresse MAC. Cette information étant généralement connue des bases d'inventaire de l'entreprise.
Moins évident, mais néanmoins très intéressant, le MDT exploite une notion de "rôles" basé sur des requêtes sur les différentes tables de la base de données. Bien que ce soit un peu délicat à maitriser au début, ce concept permet "grossièrement" de gérer des "configurations typiques", déployées selon des critères tels que le site (réseau), l'usage de la machine, un ensemble d'application…
Note : Ne confondez la notion de "rôles" associée à la gestion des fonctionnalités d'un serveur "OSRoles", avec celle mentionnée au sein de la base de données, qui ont une connotation "d'ensembles de configuration" , ou d'une gestion en "paquets".
Si vous ne disposez pas d'un serveur MS SQL dans votre environnement, vous pouvez vous contenter d'une version SQL Server Express, qui fera parfaitement l'affaire. Je ne suis pas un spécialiste du sujet, mais je pense que vous mettrez un certain temps avant de saturer cette base de données avec MDT.
III. Étude des fichiers de configuration Bootstrap.ini et CustomSetting.ini
Comme mentionné dans le tutoriel précédent, "Débuter avec MDT 2013", le fichier "CustomSetting.ini" peut être édité directement au sein de la console MDT, via les propriétés de votre partage de dépliement sous l'onglet "Rules".
A votre convenance, vous pouvez également éditer ce fichier via un autre éditeur de texte tel que le bloc-notes ou Notepad++.
En revanche, pour le fichier Bootstrap.ini la console MDT ne propose pas d'édition intégrée, mais un bouton qui aura pour effet de l'éditer avec le bloc-notes.
Note : Certaines variables ou directives peuvent être mentionnées dans le fichier de primo-configuration "BootStrap.ini". Reportez-vous à la documentation officielle "Toolkit Reference.docx" pour plus de détail. Je vous conseille toutefois de limiter les modifications de ce fichier qui, contrairement au "CustomSetting.ini", nécessite une régénération des clients LiteTouch.
A. Le CustomSetting.ini par défaut
Commençons déjà par analyser le contenu par défaut. Au début, ce fichier est composé de simplement 2 sections [Settings] et [Default], mais nous allons voir que ce nombre peut rapidement augmenter.
Directive | Explications |
[Settings] | Section obligatoire chargée de définir le traitement global du fichier de configuration. Elle stipule essentiellement dans quel ordre les autres sections vont être traitées et donc la priorité des variables qui seront appliquées. |
Priority=Default | Défini l'ordre de traitement des différentes sections utilisées pour positionner les valeurs des variables. Les noms doivent être séparés par des virgules et sont traités du premier au dernier. En cas de conflit, c'est donc le dernier qui prime. |
Properties=MyCustomProperty | Cette entrée permet de déclarer des propriétés supplémentaires. Réservé à des usages avancés, abordés ci-après, cette directive sert à définir des variables personnalisées qui ne seraient pas déjà prises en charge par MDT. (cf ZTIGather.xml ). |
[Default] | Section obligatoire qui permet de définir les valeurs qui seront appliquées par défaut à tous les ordinateurs. |
OSInstall=Y | Cette directive indique que l'ordinateur est censé effectuer un déploiement du système d'exploitation |
SkipCapture=YES | Cette directive permet de masquer l'écran de capture dans l'assistant wizard.hta. Nous reviendrons plus tard sur l'intérêt de cette variable |
SkipAdminPassword=YES | Cette directive permet de masquer l'écran de saisie d'un mot de passe pour l'administrateur local. L'éventuel mot de passe contenu dans l'image de référence restera alors inchangé. |
SkipProductKey=YES | Cette directive permet de masquer l'écran de saisie de la clé produit qui peut être stockée dans le fichier de réponse correspondant (unattend.xml). Toutefois, en fonction du système d'exploitation installé, et afin d'éviter l'interruption d'une installation, vous pouvez indiquer dans ce fichier, une clé par défaut. Cf "Annexe - Clés d’installation des clients KMS" |
SkipComputerBackup=YES | Cette directive, apparue avec MDT2012, permet de masquer l'écran de sauvegarde préalable à un déploiement sur un poste fonctionnel. |
SkipBitLocker=YES | Cette directive permet de masquer l'écran de mise en œuvre du chiffrement intégral de disque dur "BitLocker". Attention, si vous l'activez la version du système d'exploitation doit le supporter. |
Normalement, les directives ne sont pas sensibles à la casse (majuscules/minuscules) et les valeurs comme "Y", "YES", "Yes" sont valides. Toutefois, probablement pour des raisons historiques et par convention, il est souhaitable de respecter les préconisations proposées dans l'aide en ligne, c’est-à-dire "YES" ou "NO".
Astuce : Vous pouvez ajouter un point-virgule ou un dièse en début d'une ligne pour la commenter et ainsi éviter son traitement ou bien pour mentionner un complément personnalisé d'information.
Si je résume, la section [Default] doit contenir vos préférences générales, s'appliquant au plus grand nombre de vos scénarios de déploiement, et pour lesquels vous souhaitez contrôler les valeurs par défaut.
Ensuite, vous pouvez ajouter des sections supplémentaires pour traiter les cas particuliers sans oublier de mentionner l'ordre au niveau de la directive "Priority =".
B. Le Bootstrap.ini par défaut
Ce fichier est en quelque sorte le premier point d'entrée dans la configuration de MDT. Il contient donc les informations cruciales de l'initialisation des processus MDT. Pour votre gouverne, son initialisation est déclenchée par la commande "BDDRun.exe /Bootstrap" contenue dans le noyau des clients LiteTouch. Reportez-vous à mon tutoriel sur la "Présentation de WinPE" et les explications sur les processus d'initialisation.
Il partage la même logique que son homologue de type .ini et à l'issue d'une première installation de MDT, son contenu est le suivant:
Directive | Explications |
[Settings] | Même principe que CustomSetting.ini |
Priority=Default | Même principe que CustomSetting.ini |
[Default] | Section obligatoire qui permet de définir les valeurs qui seront appliquées par défaut à tous les ordinateurs. |
DeployRoot=\\WDS-MDT\DeploymentShare$ | Cette directive indique l'emplacement racine du partage de déploiement MDT, généralement sous la forme d'un chemin UNC. |
Nous allons voir par la suite comment l'améliorer.
C. Principes avancés des fichiers .INI
1. Explications
Le traitement des fichiers .INI est bien plus complexe qu'il n'y parait. En effet, il possible de personnaliser à l'extrême son séquencement. On retrouve toujours une section [Settings] chargée de définir les sections et l'ordre de leur traitement, mais parfois également des propriétés personnalisées. Au sein de ces sections, on trouve généralement les directives préconisées dans la plupart des cas, mais également vos propriétés personnalisées, auxquelles peuvent être associées des valeurs simples ou calculées. De plus, il est possible d'ajouter des sous-sections qui seront traitées en fonction d'une autre valeur.
[Settings] ; ordre de lecture des sections Priority=Section1, Section2, Section3... ; propriétés personnalisées Properties=CustStaticVar, CustDynamicVar [Section1] ; valorisation avec un contenu statique CustStaticVar=PC ; valorisation avec un contenu dynamique CustDynamicVar=#Day(Date) & "-" & Month(Date) & "-" & Year(Date)# [Section2] ; déclaration d'une sous-section avec nom fixe SubSection=Section2-1 [Section2-1] Result=Value [Section3] ; déclaration d'une sous-section avec nom calculé SubSection=Server-%IsServer% [Server-True] OSDComputerName=SRV-#Right("%SerialNumber%",7)#
Dans cet exemple "non fonctionnel", la variable personnalisée "CustDynamicVar" est valorisée selon une donnée calculée dynamiquement, telle que la date actuelle "#Day(Date)& "-" & Month(Date) & "-" & Year(Date)#". Les caractères dièse "#" servent à borner l'expression.
Note : Les expressions sont exprimées en code vbscript . Vous disposez donc de toute la panoplie des fonctions disponibles dans ce langage.
Pour le second exemple de valeur calculée, "OSDComputerName=" les signes "pourcent" référent une variable "%SerialNumber%", déjà positionnée lors de la collecte, en l'occurrence le numéro de série de la machine.
La sous-section déclarée dans la "Section3" est calculée sur la variable booléenne "%IsServer%" déjà positionnée lors de la collecte. S'il s'agit d'un système de type "Serveur", cette variable renvoie "True" ce qui permet de composer le nom de la sous-section à atteindre, soit "Server-True" dans cet exemple.
Pour illustrer ce principe avec un exemple plus concret :
Supposons que vous vouliez différencier des certains paramètres en fonction des chacun de vos sites et définir un nommage particulier selon que les ordinateurs soient de type portable ou de bureau. Pour un tel cahier des charges, le recours à la passerelle IP par défaut, soit la variable MDT "%DefaultGateway%", peut être un bon moyen pour localiser un emplacement ou un site. Pour ce qui est de la différentiation des types portable ou de bureau, il suffit d'interroger les variables booléennes MDT "%IsLapTop%" et "%IsDeskTop%".
Pour définir un nom unique d'ordinateur, vous avez plein de possibilités telles que :
- Utiliser tout ou partie du numéro de série, - #Right("%SerialNumber%",7)#
- Utiliser tout ou partie de l'adresse MAC - #Replace(Right(MACAddress,11),":","")#
- Utiliser un nombre aléatoire. #Int(Rnd()*1000000)#
N'oubliez pas de respecter les règles de base NetBIOS, telles que la limitation à 15 caractères pour la compatibilité ascendante, et éviter les caractères spéciaux dont le soulignement.
Ce qui pourrait donner un fichier comme suit :
[Settings] Priority=Init, ByLaptop, ByDesktop, DefaultGateway, Default Properties=mySite, myPCType, myNumber [Init] myNumber=#Replace(Right("%MACAddress%",11),":","")# [ByLaptop] SubSection=Laptop-%IsLapTop% [Laptop-True] myPCType=LT MachineObjectOU=OU=Portables,OU=Postes,DC=Cnf1g,DC=Local [ByDesktop] SubSection=Desktop-%IsDesktop% [Desktop-True] myPCType=DT MachineObjectOU=OU=Fixes,OU=Postes,DC=Cnf1g,DC=Local [DefaultGateway] 192.168.75.1=Paris 192.168.44.1=Nantes 192.168.35.1=Rennes 192.168.100.1=Londres [Paris] mySite=PAR TimeZoneName=Romance Standard Time [Nantes] mySite=NTE TimeZoneName=Romance Standard Time [Rennes] mySite=RNE TimeZoneName=Romance Standard Time [Londres] mySite=LON TimeZoneName=GMT Standard Time [Default] OSInstall=Y OSDComputername=%mySite%-%myPCType%-%myNumber% SkipCapture=YES SkipAdminPassword=YES SkipProductKey=YES SkipComputerBackup=YES SkipBitLocker=YES
2. Tests et débogage
Il ne vous reste plus qu'à tester cet exemple, mais la mise au point peut s'avérer longue et fastidieuse. Aussi, pour ces cas complexes, je vous conseille de tester la configuration sans passer par le scénario complet. Pour cela, téléchargez préalablement l'excellent outil "MDT Debugger" de l'équipe "The Deployment Guys". C'est un simple exécutable à déposer dans un dossier quelconque, tel que "\\WDS-MDT\DeploymentShare$\Tools". Ensuite, déposez le fichier de configuration à tester, que nous nommerons "CS-Complex.ini " dans le dossier "\\WDS-MDT\DeploymentShare$\Control". Ouvrez ensuite une invite de commande, puis exécutez les commandes suivantes :
cd C:\DeploymentShare\Tools .\CUSTOM_MDTDebugger.exe cscript ..\scripts\ZTIGather.wsf /inifile:..\Control\CS-Complex.ini
La fenêtre suivante sera alors affichée, et vous permettra de contrôler précisément les traitements effectués ainsi que l'état des différentes variables et propriétés.
Si vous utilisez l'outil plusieurs fois de suite, pensez à supprimer le fichier suivant pour éviter les rémanences.
del C:\MININT\SMSOSD\OSDLOGS\VARIABLES.DAT
D. Les écrans de l'assistant
Pour cette étude, je vous propose d'aborder la configuration du MDT au travers des différents écrans affichés par l'assistant de déploiement "wizard.hta" exploité sur les clients LiteTouch. Pour l'exemple, nous prendrons un scénario courant d'une séquence de tache de déploiement "Standard Client Task Sequence".
Grossièrement, on peut considérer que les directives destinées à masquer les écrans de cet assistant sont de la forme "skip…=YES". A titre d'information, voici la liste de ces variables :
SkipAdminAccounts, SkipAdminPassword, SkipApplications, SkipBDDWelcome, SkipBitLocker, SkipBuild, SkipCapture, SkipComputerBackup, SkipComputerName, SkipDomainMembership, SkipFinalSummary, SkipGroupSubFolders, SkipLocaleSelection, SkipPackageDisplay, SkipProductKey, SkipRearm, SkipRoles, SkipSummary, SkipTaskSequence, SkipTimeZone, SkipUserData, SkipWizard
Toutefois, si vous décidez de passer un écran sans l'afficher, n'oubliez pas qu'il sera nécessaire de contrôler les variables associées ou accepter les valeurs par défaut.
Attention : Les écrans affichés sont variables selon les scénarios traités et certains peuvent être automatiquement masqués en l'absence de contenu, tels que des applications, des packages, ou lorsque certaines conditions ne sont pas remplies…
1. Page de bienvenue
Titre de l'écran de l'assistant : Welcome
Fichier de configuration préconisé : BootStrap.ini
Directive de masquage : SkipBDDWelcome=YES
Propriétés concernées :
- KeyboardLocalePE=040c:0000040c Modifier le clavier en Français
Pour affecter une adresse IP statique :
Bien que les environnements DHCP soit plus simples à mettre en œuvre, vous pouvez affecter une adresse IP statique sur les clients LiteTouch. Pour cela, vous pouvez soit laisser la page de bienvenue visible et utiliser l'assistant, soit utiliser des commandes "netsh", soit utiliser l'une des techniques suivantes :
- Ajout de tout ou partie des propriétés suivantes au sein du fichier de configuration BootStrap.ini
- OSDAdapterCount=1
- OSDAdapter0EnableDHCP=FALSE
- OSDAdapter0IPAddressList=192.168.100.220
- OSDAdapter0SubnetMask=255.255.255.0
- OSDAdapter0Gateways=192.168.100.1
- OSDAdapter0DNSServerList=192.168.1.11,192.168.1.12
- OSDAdapter0DNSSuffix=labo.local
- Modifier le fichier "\unattend.xml" des clients LTI (modification du noyau WinPE) comme suit :
<component name="Microsoft-Windows-TCPIP" processorArchitecture="amd64" publicKeyToken="31bf3856ad364e35" language="neutral" versionScope="nonSxS" xmlns:wcm="http://schemas.microsoft.com/WMIConfig/2002/State" xmlns:xsi="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance"> <Interfaces> <Interface wcm:action="add"> <Ipv4Settings> <DhcpEnabled>false</DhcpEnabled> <Metric>10</Metric> <RouterDiscoveryEnabled>false</RouterDiscoveryEnabled> </Ipv4Settings> <UnicastIpAddresses> <IpAddress wcm:action="add" wcm:keyValue="1">192.168.100.220/24</IpAddress> </UnicastIpAddresses> <Identifier>Ethernet</Identifier> </Interface> </Interfaces> </component>
Cette seconde technique à ma préférence, mais j'admets qu'elle est plus délicate à mettre en œuvre. En effet, il faut être familier de l'éditeur WSIM à moins de copier/coller cet exemple et il faudra injecter cette modification au sein du noyau WinPE, dans le fichier Boot.WIM.
2. Saisie des identifiants de connexion
Titre de l'écran de l'assistant : User Credentials
Fichier de configuration : BootStrap.ini
Directive de masquage : N/A - Automatiquement passé si les propriétés ci-après sont toutes renseignées.
Propriétés concernées :
- UserID=CompteUtilisateur - Entrez le nom du compte de déploiement local ou de domaine
- UserPassword =MotDePasse - Entrez le mot de passe du compte en clair
- UserDomain=DomaineOuServeurMDT - Entrez le nom du domaine Active Directory ou le nom ou adresse IP du serveur MDT s'il s'agit d'un compte local.
3. Séquence(s) de taches
Titre de l'écran de l'assistant : Task Sequence
Fichier de configuration : Bootstrap.ini / CustomSettings.ini
Directive de masquage : SkipTaskSequence =YES
Propriétés concernées :
- TaskSequenceID=Aucun - Entrez l'identifiant de la séquence de taches souhaitée. Vous pouvez retrouver cette information au niveau des propriétés d'une séquence de taches.
4. Détails de l'ordinateur
Titre de l'écran de l'assistant : Computer Details
Fichier de configuration : CustomSettings.ini
Directives de masquage : SkipComputerName =YES : SkipDomainMembership=YES
Propriétés concernées :
- OSDComputerName=NomMachine - Par défaut, MDT affecte un nom commençant par "MININT-" suivi d'un identifiant unique aléatoire.
- JoinWorkgroup=NomDuGroupeDeTravail - Par défaut, MDT affecte le nom "WORKGROUP"
Ou pour joindre l'ordinateur à un domaine
- JoinDomain=NomDuDomaine - Entrez le nom du domaine Active Directory à joindre
- DomainAdmin=CompteDeJonction - Entrez le nom d'un compte habilité à joindre un ordinateur au domaine
- DomainAdminDomain=NomDeDomaineDuCompte - Entrez le nom du domaine auquel appartient le compte habilité
- DomainAdminPassword= MotDePasse - Entrez le mot de passe du compte en clair
5. Transfert des données et paramètres d'utilisateur (USMT)
Titre de l'écran de l'assistant : Move Data and Settings / User Data (Restore)
Fichier de configuration : CustomSettings.ini
Directive de masquage : SkipUserData =YES
Propriétés concernées :
- DoNotFormatAndPartition=YES - Ne formate pas les partitions existantes afin de préserver le contenu (Nouveauté MDT2013).
- UDDir =Nom du dossier dans lequel seront stockées les données USMT ou la sauvegarde
- UDShare = Chemin UNC dans lequel seront stockées les données USMT ou la sauvegarde
- UserDataLocation = UNC | AUTO | NETWORK |NONE - Définit le chemin UNC ou la méthode de stockage des données USMT ou la sauvegarde - Par défaut, la valeur est "AUTO"
6. Saisie de la clé produit
Titre de l'écran de l'assistant : Product Key
Fichier de configuration : CustomSettings.ini
Directive de masquage : SkipProductKey =YES
Propriétés concernées :
- ProductKey = AAAAA-BBBBB-CCCCC-DDDDD-EEEEE-FFFFF - Entrez la clé KMS du produit (5 blocs de 5 caractères alphanumériques).
- OverrideProductKey= AAAAA-BBBBB-CCCCC-DDDDD-EEEEE-FFFFF - Permet d'affecter une clé MAK lorsque le serveur KMS est injoignable
7. Réglages des préférences régionales
Titre de l'écran de l'assistant : Locale and Time
Fichier de configuration : CustomSettings.ini
Directives de masquage : SkipLocaleSelection =YES : SkipTimeZone=YES
Propriétés concernées :
- UILanguage=fr-FR - Entrez l'identifiant de la langue d'installation - ici "French (France)"
- UserLocale=fr-FR - Entrez la préférence régionale - ici "French (France)"
- KeyboardLocale= 040C:0000040C - Entrez le code pays selon le clavier désiré - ici "French"
- TimeZoneName = Romance Standard Time - Entrez le nom du fuseau horaire - ici "(UTC+01:00) Brussel, Copenhagen, Madrid, Paris"
- TimeZone=105 - Alternative au précédent - Entrez le code du fuseau horaire - ici "105" pour celui de la France
8. Applications à installer
Titre de l'écran de l'assistant : Applications
Fichier de configuration : CustomSettings.ini
Directives de masquage : SkipApplications=YES : SkipAppsOnUpgrade=YES
Cet écran permet de sélectionner les applications qui seront installées durant la tache de post-installation d'une séquence de taches.
Propriétés concernées :
- Applications00x ={guid} - Ces directives particulières commencent par "Applications" suivi d'un numéro d'ordre de 001 à 999. La valeur doit correspondre l'identifiant global unique {GUID} des applications. Vous pouvez retrouver cette valeur au niveau des propriétés de chaque application ajoutée dans le MDT.
- MandatoryApplications00x ={guid} - Identique au précédent, mais rend obligatoire l'installation de l'application. En fait, la case ne peut pas être décochée (grisée) lorsque cet écran est affiché.
9. Saisie du mot de passe d'administrateur local
Titre de l'écran de l'assistant : Administrator Password
Fichier de configuration : CustomSettings.ini
Directive de masquage : SkipAdminPassword =YES
Propriétés concernées :
- AdminPassword =MotDePasse - Entrez le mot de passe du compte d'administrateur local en clair. Si cette information n'est pas mentionnée, MDT conservera le mot de passe défini dans la base de compte locale du système installé. Autrement dit, pour une distribution originale Microsoft, le mot de passe est vide, mais pour une image de référence, le mot de passe peut être défini durant la séquence de fabrication préalable à sa capture.
10 . Capture d'une image de référence
Titre de l'écran de l'assistant : Capture Image
Fichier de configuration : CustomSettings.ini
Directive de masquage : SkipCapture =YES
Propriétés concernées :
- DoCapture= - Entrez la valeur "YES" pour activer la première option de capture, soit "Capture an image of this reference computer.", ou entrez la valeur "SYSPREP" pour activer la seconde option, soit "Sysprep this computer.", ou entrez la valeur "PREPARE" pour activer la troisième option, soit "Prepare to capture this machine."
Si vous optez pour l'option la plus courante, soit "DoCapture=YES", vous avez la possibilité de spécifier le chemin et le nom de l'image de destination. Les directives sont les mêmes que pour une sauvegarde.
- ComputerBackupLocation=\\Serveur\Partage - Entrez le chemin UNC de destination de la capture. Par défaut, ce chemin correspond au sous dossier "Captures" situé sur le partage de déploiement, comme par exemple "\\WDS_MDT\DeploymentShare\Captures". N'oubliez pas d'accorder les autorisations d'écriture sur cette ressource.
- BackupFile=Fichier.WIM - Entrez le nom de l'image .wim résultante. Correspond par défaut à l'identifiant de la séquence de tache, soit "%TaskSequenceID%.wim"
11. Résumé préalable
Titre de l'écran de l'assistant : Ready to begin
Fichier de configuration : CustomSettings.ini
Directive de masquage : SkipSummary =YES
Propriétés concernées : N/A
12. Résumé de fin de déploiement
Titre de l'écran de l'assistant : Operating system deployment completed successfully : Operating system deployment did not complete successfully
Fichier de configuration : CustomSettings.ini
Directive de masquage : SkipFinalSummary =YES
Ecran Blanc = Aucune erreur, Jaune = Avertissement, Rose = Erreur critique
Quand il y a une erreur, ça donne ça :
Propriétés concernées :
- FinishAction= - Permet de définir le comportement souhaité à l'issue du déploiement, par défaut si l'écran n'est pas masqué, le résumé de fin de déploiement reste affiché. Entrez l'une des valeurs, telle que "LOGOFF | SHUTDOWN | RESTART | REBOOT" afin de respectivement, fermer la session, arrêter, redémarrer à chaud ou à froid l'ordinateur.
Afin de ne pas trop alourdir cette présentation déjà conséquente, je vous invite à vous reporter à la documentation officielle pour les autres cas particuliers non abordés ici.
Ecran de l'assistant | Masqué via cette propriété | Configurer ces propriétés |
Computer Backup | SkipComputerBackup | · BackupDir· BackupShare· ComputerBackupLocation |
Language Packs | SkipPackageDisplay | · LanguagePacks |
Roles and Features | SkipRoles | · OSRoles· OSRoleServices· OSFeatures |
Local Administrators | SkipAdminAccounts | · Administrators |
Bitlocker | SkipBitLocker | · BDEDriveLetter· BDEDriveSize· BDEInstall· BDEInstallSuppress· BDERecoveryKey· TPMOwnerPassword· OSDBitLockerStartupKeyDrive· OSDBitLockerWaitForEncryption |
E. Exemple de personnalisation
1. Postulat du cas étudié
Afin d'illustrer tout ceci, nous allons prendre l'exemple d'une capture d'un poste de référence. En effet, si vous n'êtes pas encore familiarisé avec ce concept, on peut considérer que contrairement aux scénarios habituels de déploiement, il s'agit d'un cas particulier que la séquence de tache associée doit prendre en compte.
Pour faire court, cette notion de "capture" est essentiellement liée aux processus de fabrication d'un ordinateur de référence, souvent désigné par l'anglicisme "Master". Sur le plan pratique, la capture consiste à générer une image .WIM à partir d'un poste remis en condition de déploiement via l'outil "sysprep". Avec MDT, on peut distinguer 2 techniques de fabrication :
- La capture manuelle : L'installation et la configuration de l'ordinateur de référence est faite manuellement puis on sollicite ensuite via le réseau, le script "LiteTouch.vbs" situé sur le partage MDT, afin de déclencher une séquence de tache de type "Sysprep and Capture".
- La capture automatisée : L'installation et la configuration de l'ordinateur de référence est réalisée par une séquence de tache de type "Standard Client Task Sequence" à laquelle on associe l'enchainement des actions de préparation et de capture. Bien que plus délicate à mettre au point, cette méthode garantit et normalise le processus de fabrication.
2. Appliquer une configuration à une machine précise
Il existe plusieurs moyen d'identifier un ordinateur, mais pour cet exemple, nous allons distinguer la machine de référence (virtuelle ou non) par son adresse MAC. Pour cela, il suffit d'ajouter la variable "MACAddress" au niveau de la directive "Priority=" et d'ajouter une nouvelle section correspondante à la valeur de l'adresse physique de la machine, au format [00:00:00:AA:BB:CC].
Note : Sous Windows, les commandes "arp" ou "ipconfig" renvoient l'adresse MAC séparée par un tiret avec les lettres en minuscule. Pour MDT, il faudra remplacer les tirets par des double-points et mettre les lettres en majuscule, soit en langage powershell : ("00-15-5d-00-2c-15").Replace("-",":").ToUpper()
Besoin d'un script plus élaboré pour valider le format ?, cf ici
3 . Création de la séquence de test
Pour un premier test de cette configuration, je vous propose de créer une nouvelle séquence de tache de type "Sysprep and Capture". Par exemple, nous lui affectons l'identifiant "CAPT-001" et le nom arbitraire "Sysprep et Capture uniquement". Au besoin, vous pouvez ajouter cette information dans le fichier au niveau de la section correspondante à l'adresse MAC de notre machine de test.
4. Directives à ajouter dans CustomSettings.ini
Donc dans le cadre de cette démonstration, il nous faut renseigner les directives suivantes :
Directive | Explications |
SkipCapture = NO | YES | Pour afficher ou masquer l'écran de capture |
DoCapture=YES | Active l'option de capture, soit "Capture an image of this reference computer" |
ComputerBackupLocation= | Chemin de destination local ou réseau pour une sauveagarde ou une capture. Pour un partage réseau, l'équivalent est "%BackupShare%\%BackupDir%" |
BackupShare= | Correspond par défaut au chemin UNC du partage de déploiement "%DeployRoot%" |
BackupDir= | Correspond par défaut au sous-dossier "\Captures" situé à la racine du partage de déploiement |
BackupFile= | Correspond par défaut à l'identifiant de la séquence de tache, soit "%TaskSequenceID%.wim" |
Remarque importante : Les processus de capture MDT échouent systématiquement dès lors que l'ordinateur est membre d'un domaine. Autrement dit, les séquences de capture ne sont traitées que sur des ordinateurs autonomes au sein d'un simple groupe de travail.
Le fichier de configuration devrait approximativement ressembler à ceci :
[Settings] Priority = MACAddress,Default Properties=MyCustomProperty [00:15:5D:00:2C:15] SkipTaskSequence=NO TaskSequenceID=CAPT-001 SkipCapture=NO DoCapture=YES ; ComputerBackupLocation=%DeployRoot%\Captures ; ou BackupShare=%DeployRoot% BackupDir=Captures BackupFile=%TaskSequenceID%.wim [Default] SkipCapture=YES DoCapture=NO
Notez que dans un premier temps, il est préférable de conserver l'affichage des écrans afin de vérifier que les champs soient correctement remplis.
Pour rappel, n'oubliez pas que le dossier de capture doit être accessible en lecture/écriture et que l'exécution du script nécessite généralement des privilèges d'administration.
5. Test du résultat
A partir de la machine de test sur laquelle un système est déjà installé, il ne reste plus qu'à connecter un lecteur réseau pointant sur le serveur MDT et exécuter le script "LiteTouch.vbs" situé sous le dossier "Scripts".
net use z: \\WDS-MDT\DeploymentShare$ /user:WDS-MDT\Admin * Entrez le mot de passe pour \\WDS-MDT\DeploymentShare$ : Z:\Scripts\LiteTouch.vbs
Selon le niveau de sécurité du poste, une confirmation d'exécution peut être affichée.
A l'issue du traitement des fichiers bootstrap.ini et customsetting.ini, et sous réserve que vous ayez correctement saisi l'adresse MAC de la machine de test, l'écran de choix des séquences de taches devrait apparaître avec l'option "Sysprep et Capture uniquement" sélectionnée.
Si c'est bien le cas, pour la prochaine étape, vous pourrez éventuellement changer la directive par SkipTaskSequence=YES. Cliquez sur "Next".
L'écran de capture devrait alors apparaître. Et là encore, la première option doit être déjà sélectionnée et les champs "Location" et "File name" devraient contenir les bonnes informations.
Si c'est bien le cas, pour le test suivant, vous pourrez changer la directive par SkipCapture=YES
Cliquez sur "Cancel".
La démonstration peut s'achever ici, du fait qu'il s'agissait de montrer un exemple simple de capture. Cela étant, il faudrait encore ajuster quelques réglages afin de parfaire cette opération, tels que l'ajout d'applications, de packages ou bien ajuster les composants Windows souhaités.
Voici un exemple de configuration finalisé
[Settings] Priority = MACAddress,Default Properties=MyCustomProperty [00:15:5D:00:2C:15] _SMSTSORGNAME=Creation de l'image de reference - %TaskSequenceID% SkipTaskSequence=YES TaskSequenceID=CAPT-001 SkipCapture=YES DoCapture=YES BackupShare=\\WDS-MDT\DeploymentShare$ BackupDir=Captures BackupFile=BUILD-v%TaskSequenceVersion%.wim ; ajoutez ici les applications a integrer dans l'image de reference SkipApplications=NO SkipAppsOnUpgrade=YES ; Applications001={GUID1} ; Applications002={GUID2} ; Applications003={GUID3} SkipUserData=YES UserDataLocation=NONE SkipComputerName=YES OSDComputerName=BUILD-001 SkipDomainMembership=YES JoinWorkGroup=WORKGROUP SkipLocaleSelection=YES SkipTimeZone=YES UILanguage=fr-FR UserLocale=fr-FR KeyboardLocale= 040C:0000040C TimeZoneName=Romance Standard Time DoNotCreateExtraPartition=YES ApplyGPOPack=NO SLShare=\\WDS-MDT\logs ; pensez a reactiver les taches Windows Update dans la TS WSUSServer=http://wsus SkipAdminPassword=YES SkipBitLocker=YES SkipProductKey=YES SkipRoles=YES SkipSummary=YES SkipFinalSummary=NO FinishAction=SHUTDOWN [Default] _SMSTSORGNAME=Deploiement par defaut - %TaskSequenceID% OSInstall=Y SkipCapture = YES
Exemple de résultat :
Maintenant tous ces choix vous incombent et j'espère que cette présentation sera suffisante à votre envol vers de nouvelles aventures avec MDT.
Conseil : Pensez à sauvegarder régulièrement vos fichiers de configuration opérationnels avant d'effectuer des modifications. Pour l'anecdote, je ne compte plus les heures perdues à chercher une "fausse erreur de traitement" liée simplement à un mauvais encodage du fichier en UTF8 au lieu de ANSI.
F. La base de données MDT DB
Après tout ce remue-méninge autour de ce fameux fichier de configuration, un constat viens rapidement à l'esprit. A une plus grande échelle, le nombre de ligne va très rapidement augmenter, et on atteint très rapidement les limites en termes de lisibilité. En effet, les risques de doublons ou d'erreur dans les déclarations de variables n'est pas négligeable et difficile à identifier. Est-ce raisonnable de maintenir un tel fichier pour gérer toutes les déclinaisons de mon entreprise ?
C'est à ce moment que la base de données "MDT DB" devient intéressante.
Installer une base de donnée pour MDT peut paraitre délicat pour un néophyte et pour débuter, un tutoriel arrivera prochainement dans lequel j'aborde l'installation d'une base SQL Server Express ainsi que l'exploitation des nouvelles possibilités telles que la notion de rôles
IV. Aller plus loin avec CS.ini : Quelques Trucs et Astuces
A. Ne pas créer la partition additionnelle d'amorçage
Vous avez sans doute remarqué que le MDT génère une partition supplémentaire dans le but d'y stocker les fichiers d'amorçage et surtout dans l'hypothèse d'activer le chiffrement intégral de disque BitLocker. Hors, cette fonctionnalité n'est disponible pas sur les versions, vous pouvez désactiver la création de cette partition supplémentaire via la directive suivante :
DoNotCreateExtraPartition=YES
B. Affecter des valeurs dynamiques aux variables MDT
1. Personnalisation de la bannière de déploiement
Nous avons vu qu'il était possible d'affecter de nombreuses valeurs aux propriétés MDT , comme par exemple " _SMSTSOrgName= MonEntreprise" pour personnaliser la bannière de déploiement. Toutefois, ces valeurs sont statiques et il peut être parfois intéressant de composer dynamiquement certains contenus.
Exemples :
Pour afficher l'identifiant de la séquence et le nom de l'ordinateur sur la bannière de déploiement, vous pourriez utiliser la directive suivante :
_SMSTSOrgName = Execution de la séquence %TaskSequenceID% sur %OSDComputername%
Notez que la seconde ligne de la bannière de déploiement (Running:) est également personnalisable via la variable "_SMSTSPackageName="
2. Personnalisation des noms de machines
Pour composer vos propres noms de machine à partir des 5 derniers chiffres du numéro de série, vous pourriez utiliser la directive suivante :
OSDComputername = PC-#Right("%SerialNumber%",4)#
Les caractères "#" permettent d'encadrer le code à évaluer
3. Ciblage des pilotes en fonction des machines
Pour maîtriser la distribution des pilotes en fonction de la marque et du modèle de machine
DriverSelectionProfile=Nothing DriverInjectionMode=ALL DriverGroup001=Windows 7\x64\%Make%\%Model%
Notez que cette astuce ne fonctionne que si vos pilotes sont organisés selon une hiérarchie de dossiers correspondant exactement à la marque et au modèle de machine renvoyé par les requêtes WMI. Vous pouvez obtenir ces renseignements :
- Via la console WMI
WMIC CSProduct Get Name, Vendor
Relevez collectez les valeurs "Vendor" (Make) et "Name" (Model)
- Via Powershell
Get-WmiObject Win32_ComputerSystem | Select Model,Manufacturer
Relevez les valeurs "Manufacturer" (Make) et "Model" (Model)
4. Ajouter la date de création sur le fichier de capture
Cet exemple permet de nommer le fichier résultant d'une capture ajoutant la date de fabrication à l'identifiant la séquence de tache.
DoCapture=YES BackupShare=%DeployRoot% BackupDir=Captures BackupFile=%TaskSequenceID%_#day(date) & "-" & month(date) & "-" & year(date)#.wim
C. Activer les mises à jour Windows Update, mais bloquer des correctifs indésirables
WSUSServer=http://WSUSServer:8530 WUMU_ExcludeKB001=976002 WUMU_ExcludeKB002=2267621 WUMU_ExcludeKB003=2434419
Par exemple, le programme européen de choix du navigateur par défaut, silverlight, la barre d'outil "Bing",…
;Microsoft Browser Choice Screen Update for EEA Users of Windows 7 for x64-based Systems (KB976002) WUMU_ExcludeKB1=976002 ;Microsoft Silverlight (KB2636927) WUMU_ExcludeKB2=2636927 ;Windows Internet Explorer 9 for Windows 7 for x64-based Systems (KB982861) WUMU_ExcludeKB3=982861 ;Bing Desktop (KB2694771) WUMU_ExcludeKB4=2694771
Attention : Par défaut les taches de mise à jour sont présentes, mais désactivées
D. Masquer l'explorateur durant le déploiement
Pour masquer l'explorateur Windows (et implicitement le bureau) durant les taches de déploiement telles que l'installation des applications, vous pouvez utiliser la directive suivante :
HideShell=YES
Utilisez toutefois, ce réglage avec parcimonie, car certaines applications ne supportent pas toujours ce genre de contrainte.
E. Définir le service de surveillance des déploiements MDT (Monitoring)
Depuis MDT2012, vous pouvez activer un service de surveillance de vos déploiements MDT. Pour cela, utilisez la directive suivante :
EventService=http://SERVER:9800
F. Ajouter des administrateurs locaux
Vous avez la possibilité d'ajouter des administrateurs locaux, comptes d'utilisateur ou groupes d'un domaine via la directive suivante :
Administrators001=Domaine\NomDuGroupe
G. Activer la journalisation dynamique des déploiements
MDT permet d'activer , la journalisation dynamique des déploiements via la directive suivante :
SLShareDynamicLogging=\\SERVER\SHARE$\Logs\%OSDComputerName%
N'abusez pas de ce réglage qui peut engendrer une augmentation significative du trafic réseau.
Annexes - Clés d’installation des clients KMS
Ne vous emballez pas, il s'agit là d'une information tout à fait légale, disponibles sur les sites officiels de Microsoft : Technet - Clé KMS
Les clés fournies ci-après n'ont aucune valeur pour l'activation et sont uniquement destinées aux processus d'installation automatisées. Dans la plupart des cas, vous disposez d'une période de grâce de 30 jours pour entrer votre clé de licence effectivement acquise dans le cadre contractuel.
Remarque : Pour installer une clé d’installation de client, ouvrez une invite de commandes d’administration sur le client, tapez slmgr /ipk <clé d’installation> et appuyez sur ENTRÉE.
Windows Server 2016
Édition du système d’exploitation | Clé d’installation du client KMS |
Windows Server 2016 Datacenter | CB7KF-BWN84-R7R2Y-793K2-8XDDG |
Windows Server 2016 Standard | WC2BQ-8NRM3-FDDYY-2BFGV-KHKQY |
Windows Server 2016 Essentials | JCKRF-N37P4-C2D82-9YXRT-4M63B |
Windows 10
Édition du système d’exploitation | Clé d’installation du client KMS |
Windows 10 Professional | W269N-WFGWX-YVC9B-4J6C9-T83GX |
Windows 10 Professional N | MH37W-N47XK-V7XM9-C7227-GCQG9 |
Windows 10 Enterprise | NPPR9-FWDCX-D2C8J-H872K-2YT43 |
Windows 10 Enterprise N | DPH2V-TTNVB-4X9Q3-TJR4H-KHJW4 |
Windows 10 Education | NW6C2-QMPVW-D7KKK-3GKT6-VCFB2 |
Windows 10 Education N | 2WH4N-8QGBV-H22JP-CT43Q-MDWWJ |
Windows 10 Enterprise 2015 LTSB | WNMTR-4C88C-JK8YV-HQ7T2-76DF9 |
Windows 10 Enterprise 2015 LTSB N | 2F77B-TNFGY-69QQF-B8YKP-D69TJ |
Windows 10 Enterprise 2016 LTSB | DCPHK-NFMTC-H88MJ-PFHPY-QJ4BJ |
Windows 10 Enterprise 2016 LTSB N | QFFDN-GRT3P-VKWWX-X7T3R-8B639 |
Windows Server 2012R2 et Windows 8.1
Édition du système d’exploitation | Clé d’installation du client KMS |
Windows Server 2012 R2 Standard | D2N9P-3P6X9-2R39C-7RTCD-MDVJX |
Windows Server 2012 R2 Datacenter | W3GGN-FT8W3-Y4M27-J84CP-Q3VJ9 |
Windows 8.1 Entreprise | MHF9N-XY6XB-WVXMC-BTDCT-MKKG7 |
Windows Server 2012 et Windows 8
Édition du système d’exploitation | Clé d’installation du client KMS |
Windows 8 Professionnel | NG4HW-VH26C-733KW-K6F98-J8CK4 |
Windows 8 Professionnel N | XCVCF-2NXM9-723PB-MHCB7-2RYQQ |
Windows 8 Entreprise | 32JNW-9KQ84-P47T8-D8GGY-CWCK7 |
Windows 8 Entreprise N | JMNMF-RHW7P-DMY6X-RF3DR-X2BQT |
Windows Server 2012 Core | BN3D2-R7TKB-3YPBD-8DRP2-27GG4 |
Windows Server 2012 Core N | 8N2M2-HWPGY-7PGT9-HGDD8-GVGGY |
Windows Server 2012 Core Unilingue | 2WN2H-YGCQR-KFX6K-CD6TF-84YXQ |
Windows Server 2012 Core Country Specific | 4K36P-JN4VD-GDC6V-KDT89-DYFKP |
Windows Server 2012 Server Standard | XC9B7-NBPP2-83J2H-RHMBY-92BT4 |
Windows Server 2012 Standard Core | XC9B7-NBPP2-83J2H-RHMBY-92BT4 |
Windows Server 2012 MultiPoint Standard | HM7DN-YVMH3-46JC3-XYTG7-CYQJJ |
Windows Server 2012 MultiPoint Premium | XNH6W-2V9GX-RGJ4K-Y8X6F-QGJ2G |
Windows Server 2012 Datacenter | 48HP8-DN98B-MYWDG-T2DCC-8W83P |
Windows Server 2012 Datacenter Core | 48HP8-DN98B-MYWDG-T2DCC-8W83P |
Windows 7 et Windows Server 2008 R2
Édition du système d’exploitation | Clé d’installation du client KMS |
Windows 7 Professionnel | FJ82H-XT6CR-J8D7P-XQJJ2-GPDD4 |
Windows 7 Professionnel N | MRPKT-YTG23-K7D7T-X2JMM-QY7MG |
Windows 7 Professionnel E | W82YF-2Q76Y-63HXB-FGJG9-GF7QX |
Windows 7 Entreprise | 33PXH-7Y6KF-2VJC9-XBBR8-HVTHH |
Windows 7 Entreprise N | YDRBP-3D83W-TY26F-D46B2-XCKRJ |
Windows 7 Entreprise E | C29WB-22CC8-VJ326-GHFJW-H9DH4 |
Windows Server 2008 R2 Web | 6TPJF-RBVHG-WBW2R-86QPH-6RTM4 |
Windows Server 2008 R2 HPC Edition | TT8MH-CG224-D3D7Q-498W2-9QCTX |
Windows Server 2008 R2 Standard | YC6KT-GKW9T-YTKYR-T4X34-R7VHC |
Windows Server 2008 R2 Entreprise | 489J6-VHDMP-X63PK-3K798-CPX3Y |
Windows Server 2008 R2 Datacenter | 74YFP-3QFB3-KQT8W-PMXWJ-7M648 |
Windows Server 2008 R2 pour les systèmes Itanium | GT63C-RJFQ3-4GMB6-BRFB9-CB83V |
Windows Vista et Windows Server 2008
Édition du système d’exploitation | Clé d’installation du client KMS |
Windows Vista Professionnel | YFKBB-PQJJV-G996G-VWGXY-2V3X8 |
Windows Vista Professionnel N | HMBQG-8H2RH-C77VX-27R82-VMQBT |
Windows Vista Entreprise | VKK3X-68KWM-X2YGT-QR4M6-4BWMV |
Windows Vista Entreprise N | VTC42-BM838-43QHV-84HX6-XJXKV |
Windows Web Server 2008 | WYR28-R7TFJ-3X2YQ-YCY4H-M249D |
Windows Server 2008 Standard | TM24T-X9RMF-VWXK6-X8JC9-BFGM2 |
Windows Server 2008 Standard sans Hyper-V | W7VD6-7JFBR-RX26B-YKQ3Y-6FFFJ |
Windows Server 2008 Entreprise | YQGMW-MPWTJ-34KDK-48M3W-X4Q6V |
Windows Server 2008 Entreprise sans Hyper-V | 39BXF-X8Q23-P2WWT-38T2F-G3FPG |
Windows Server 2008 HPC | RCTX3-KWVHP-BR6TB-RB6DM-6X7HP |
Windows Server 2008 Datacenter | 7M67G-PC374-GR742-YH8V4-TCBY3 |
Windows Server 2008 Datacenter sans Hyper-V | 22XQ2-VRXRG-P8D42-K34TD-G3QQC |
Windows Server 2008 pour les systèmes Itanium | 4DWFP-JF3DJ-B7DTH-78FJB-PDRHK |
Petite question
Est ce que MDT 2013 est capable de faire une installation de Win7 sur un portable qui n’est QUE x86 ?.
J’ai un souci avec une serie de Dell portable. erreur apres le boot.
Merci d’avance.
Bonjour,
Par défaut, MDT2013 est pleinement compatible x86 ou x64
En fait MDT est une sorte d’ordonnanceur ou de séquenceur qui se contente d’automatiser l’enchaînement d’opérations élémentaires. Autrement dit, pour qualifier une installation sur un modèle, il faut déjà s’assurer que le produit s’installe correctement, avec ou sans pilote spécifique (ou mise à jour bios). Souvent, ce sont les pilotes de carte réseau ou de composant intégré (chipset) qui posent problème lors des 1er redémarrages.
Au besoin, il faudrait m’indiquer le type d’erreur, (et le modèle éventuellement) mais si il est possible d’installer manuellement Win7x86 sur ces portables Dell, il n’y a pas de raison pour que le MDT ne puisse pas le faire aussi.
Bon courage
Bonjour
Merci pour la réponse.
L’erreur est la suivante:
0xc0000260 « Vous devez utiliser un processeur compatible 64 bits »
Alors que j’utilise le boot x86 sur WDS.
N’y a t’il pas un souci ave MDT 2013 ?
Merci
Scorpio92
Bonjour,
Je ne suis pas sur de comprendre. MDT ne peux pas être directement en cause, car il génère les images de boot (x86 et/ou x64) qu’il faut ensuite importer dans WDS. Ensuite, c’est l’OS défini dans la séquence de tache (install Operating System) qui prend le relais une fois l’image WIM extraite sur le poste. Est-ce que l’erreur survient lors d’un démarrage direct à partir de WDS, via un boot PXE ? (il y a effectivement le bootstrap WDSNBP.com qui fait la détection de CPU et qui pourrait éventuellement poser problème. Sinon, il faut aussi vérifier que l’image WIM de la séquence de tache est bien x86. Comme signalé dans ma réponse précédente, est-ce que l’install fonctionne manuellement ? Si oui, il sera tjs possible d’aménager une tache particulière en fonction de ce modèle. Il faut juste trouver où est le blocage, et ce n’est pas toujours évident.
Bon courage
bonjour,
J’apporte une précision: je viens de tester avec un « vieux » boot MDT 2016 et ça fonctionne.
C’est bien la preuve que MDT 2013 a une limitation.
J’aimerai bien en être sur, alors, si quelqu’un peut tester comme moi.
MDT 2013 – PC avec processeur uniquement x86
Merci d’avance
Scorpio92
?? un “vieux” boot MDT 2016 … C’est quoi exactement ??
Serait’il possible d’avoir les vraies versions de l’install qui fonctionne. Soit si DVD/ISO, faire MAJ+F10, puis VER et SET PRO ou via MDT/LTI, faire F8 puis VER et SET PRO
En ce qui me concerne, j’installe des W7x86 via MDT (y compris 2013update1) sans difficulté (perte du support XP/2003 depuis MDT2013). En revanche, il est possible que pour certains PC, il y ai des erreurs d’aiguillage. le MDTDebugger (cf paragraphe 2 de cet article.) peut permettre d’identifier les variables MDT afin de vérifier si c’est le cas., surtout durant la phase de collecte « Gather ».
Merci
Bonjour
C’est bien MDT 2010 dont je parlais.
De plus, je ne suis pas vraiment novice dans MDT, ça fait plus de 5 ans que je l’utilise.
Le message apparait à la fin de la descente de l’image de Boot. avant l’apparition de la 1ere fenetre de MDT.
Il me dit que l’image (boot) en mémoire n’est pas pour ce type de processeur (x86) qu’il faut du compatible 64.
Alors que mon image de boot est faite pour x86 et x64.
De plus, sur un processeur X86/64 j’installe sans souci des Win7 X86 ET x64.
C’est vraiment un souci de l’image de boot. Peut etre WDS ? une piste où je peux chercher ?
merci pour les réponses.
Scorpio92
oups….MDT 2010
Bonjour,
Donc si je résume, cela fonctionne sur ce PC Dell dès lors qu’on démarre sur un boot LTI / MDT2010 avec la même image WIM… Est-ce que WDS est aussi le même ou pas ? (idem en utilisant un boot LTI2013/USB ?)
Comme je le disais, j’installe sans problème des OS 32 et 64 bits via MDT2013 et si cela fonctionnait en 2010 et plus en 2013, sur un modèle précis, je pense que c’est probablement lié à l’évolution des scripts entre les versions, et particulièrement celui de collecte. A mon avis, il faudrait aussi valider que l’image WIM n’est pas en cause (en lui substituant ponctuellement un original MS, mono-image) et plus globalement faire la config la plus simple possible (boot WinPE/LTI x86 seul). J’oubliais, est-ce que le MDT2013 est issu d’un upgrade d’un DShare existant ou un nouveau ? Je renouvelle également mon conseil d’utiliser MDT Debugger afin vérifier les infos collectées (ZTIGather.wsf) sur ce modèle . Idealement, il faudrait comparer les fichiers variables.dat dans les 2 cas MDT2010 versus MDT2013 et ou regarder les logs .\MININT\SMSOSD\OSDLOGS\ZTIGather.log suite à une install via MDT2010.
(et enfin peut être creuser chez le support DELL, ils ont pas mal d’infos sur les déploiements)
Bon courage
Merci pour toutes ces infos, mais:
je ne peux pas faire de « collecte » etant donné que le message d’erreur apparait juste AVANT la 1er fenêtre MDT, et c’est un message d’erreur qui ne permet pas de faire un F10 ou tout autre choses, donc, pas de log possible.
Sur ce Pc, je peux installer un Win7 32 avec une clé bootable ou DVD sans problème. (je précise bien que ce Dell a un proc uniquement 32)
C’est bien ce pourquoi je soupçonne un problème avec mon MDT 2013.
J’ai aussi régénéré plusieurs fois mon image de boot, idem !
Mon MDT est « tout neuf »
Merci de passer du temps à chercher et à me répondre.
De plus, votre site est une véritable mine d’Or. Merci encore.
Scorpio92
Tout problème devrait avoir une solution, mais ce n’est pas tjs évident, surtout à distance 😀
Donc, ce que je propose, c’est de décomposer les étapes, et avancer par dichotomie (si ce n’est pas déjà fait)…
– avec un DVD/USB standard, cela fonctionne – on est d’accord.
– avec WDS seul, si on importe le DVD, normalement ça doit marcher (on dématérialise uniquement l’amorce Winpe et on installe via le réseau) – c’est bien OK ?
– avec MDT2013 « seul », si on importe ce DVD en tant que nouvel OS, et transfert de l’ISO LTIx86 (regénéré) sur une clé USB – Est-ce que l’install fonctionne tjs ?
– sinon, au 1er boot avant le choix de la séquence de tache, faire F8 + set proc (on doit être en x86) – après selon le contenu de la séquence choisie, l’image WIM va être extraite en local (offline servicing) – le système ne redémarrera pas tant que l’invite cmd est actif. On devrait être en mesure de voir des logs au moins sur « X:\MININT\SMSOSD\OSDLOGS ». (A conserver sur la clé USB pour analyse…)
– si l’erreur survient au prochain reboot, c’est plutôt l’image extraite qui serait en cause.(Essayer d’agir sur la séquence de tache pour imposer une plateforme x86 en décochant les options x64)
– Une autre piste consisterait a passer par le PC Dell installé, mapper un lecteur Z: vers le MDT\DShare puis lancer cscript Z:\Scripts\ZTIGather.wsf /debug:TRUE et conserver les variables retournées puis faire la même chose en bootant sur un WinPE, et comparer les résultats.
Je reconnais que ça fait bcp d’étapes mais je ne voie mieux pour cerner le problème
Bon courage
Bonjour,
Je reviens sur le problème cité: erreur lors de la descente du boot.wim.
Solution:
J’ai installé la version MDT2013 Update 1 avec l’ADK pour Windows 10 et…miracle, tout fonctionne, même avec des PC anciens.
Le MDT2013 avait bien un souci.
Milles merci pour avoir cherché des solutions.
Merci pour ce site, c’est grâce à des personnes comme vous que l’informatique s’apprend et avance.
Bonnes fetes !
Scorpio92
je voudrais faire un logoff à la fin de mon déploiement
automatisé comment doit-je mie prendre
Bonjour,
Si le déploiement automatisé » = MDT, la réponse est dans ce tuto (§D.12). Il suffit d’ajouter la directive FinishAction=LOGOFF dans le fichier CustomSettings.ini (ou la base de données si c’est le cas)
Bonne continuation
Bonjour,
merci pour toutes ces infos détaillés! J’ai cependant deux questions:
– est il possible d’intégré les caractères du type « é » dans la variable de déclaration DomainOUs ? comme par exemple avec quelque chose comme é=[char]233 ? si oui dans quel script l’inscrire?
– et pour finir peut on de manière dynamique définir la variable OSDisk avec par exemple le nom de l’ordinateur?
Merci
Bonjour Pierrick,
1-L’usage des caractères accentués et des espaces n’est pas préconisé mais normalement ça marche pour peu que l’encodage du fichier soit correct (Unicode versus UTF-8). Les listes d’OUs peuvent être définies dans le customsettings.ini, ou dans DomainOUList.xml (cf https://scriptimus.wordpress.com/2013/02/11/mdt-2012-domainous-list/) – Il faut soit saisir ces caractères normalement, soit (si pb) utiliser une « syntaxe vb » encadrée par des dièses comme par exemple
NomVariableMDT=#"Accentu"+Chr(233)# ou OSDComputerName=#Left("%SerialNumber%",7)#
2-Comme toute variable du MDT, OSDisk peut être personnalisée et/ou dynamiquement construite. Toutefois, celle-ci est valorisée au début du processus de partionnement et à ce stade, il est possible que le nom de l’ordinateur ne soit pas encore défini (MININT-xxxxx)
Pour répondre à la question, dans une séquence de déploiement, aller dans « Preinstall … New Computer Only … Format and partition Disk », sélectionner le volume « OSDisk (Primary) » puis cliquer sur le bouton d’édition. Dans la fenêtre « Partition Properties » et le champ « Partition name » entrer « %OSDComputerName% » (ne pas modifier le nom de variable « OSDisk » en bas) puis OK.
En théorie, ça devrait être suffisant
Bonne continuation
Bonjour Christophe,
merci pour les conseils.
Je confirme que le champ « partition name » peut bien être choisi dynamiquement grâce à la variable
"%OSDComputerName%"
, ça marche du tonnerre!En ce qui concerne les OU, le mieux serait évidemment de refaire l’AD avec des noms moins problématiques. On verra ça pour une autre fois. J’avais vu le billet sur scriptimus il est bien fait et complet.
Cordialement Pierrick
Bonjour,
Si je veux déployer un windows sur un SSD et ensuite d’autres logiciels sue un disque autre que le SSD ?
C’est possible via MDT ?
Merci,
Bonjour Pascal,
La question est étonnante et je ne suis pas certain d’en comprendre le fond… Le MDT est un outil de fabrication d’images WIM (indépendantes du matériel) et d’ordonnancement de taches (opérations prédéfinies ou commandes personnalisées). Donc, il n’y a aucun souci à capturer une image WIM d’un système à partir d’un disque traditionnel ou même virtuel, pour le redescendre vers un SSD. Pour ce qui est des applications, soit c’est la commande d’install qui donne la destination des programmes en post-install, soit il faut capturer la partition des applications installées dans une image WIM distincte, puis ajouter une tache d’extraction de cette image vers le second disque, lors du déploiement (A mon avis, c’est un peu lourd et complexe). Pour rappel, les images WIM sont « mono-partition ».
La question déterminante est « Est-ce que ces applications (non SSD) peuvent être installées silencieusement/automatiquement ET est-ce que ce temps d’installation est trop pénalisant (versus capture d’un WIM applications) ?
En résumé, si les install d’applications peuvent être scriptées/automatisées, je pense qu’il est plus simple d’indiquer au MDT de faire le partitionnement souhaité sur les 2 disques, installer la WIM OS sur le SSD en mode standard puis ajouter les taches d’installation des applications sur le second disque…. (Il faut simplement repérer la « variable » définie pour le second disque/partition) – cf commentaire précédent à Pierrick
Bon courage
Merci Christophe, tu réponds à ma question
Notre façon de fonctionner est celle que tu mentionnes plus haut (tâche d’installation complètes ou tâche par logiciels dépendamment des installations à faire)
C’est que la personne qui s’occupe du « packaging » me dit que ce n’est pas possible d’installer windows sur le SSD et Office sur l’autre disque ….
En matière de packaging, la techno MSI sur laquelle s’appuie MSOffice, expose pratiquement toujours une propriété « DIRCA_TARGETDIR » « valorisable » et on peut donc installer Office sur une partition ou un disque différent de l’OS (mais la lettre doit être connue). Cela étant dit, on sort des standards et dans quel but ? De toute façon, ce genre de produit à une forte adhérence avec le système et y dépose toujours des fichiers.
Si le but est d’optimiser le taux d’occupation sur le SSD, je pense qu’il faut explorer d’autres pistes, (Caches,Espaces temporaires, Install administrative en réseau, etc.) mais c’est un autre sujet …
Bonne continuation
Bonjour,
voulant installer du windows 10, j’ai upgradé mon MDT 2013 en update 2
Tout continue de bien fonctionner pour du Windows 7 mais lorsque je veux installer du windows 10, l’image de boot WDS ne va pas chercher la database ou sont stocké le nom des pc.
Quelqu’un aurait une idée? Ca fait 3 semaines que je galère.
Merci
Bonjour Lyo,
Je suppose que les images de boot WDS ont bien été mises à jour en WinPE10, via les images \boot\*.wim du MDT2013u2.
Concernant la « database », s’agit-il d’une DB-SQL associée à MDT ou d’une simple DB de « pre-staging » WDS (permettant d’associer des noms par identifiant) – Quelle est la version windows du serveur WDS ?
Est-ce que le processus de déploiement bloque sur le nom ou demande simplement une validation ?
Il est délicat d’établir un diagnostic en mode commentaire d’article. Il serait probablement plus judicieux et efficace de soumettre ce cas dans le forum.
Merci
Bonjour,
Actuellement je suis en stage dans un grand groupe, et j’ai du agir sur les serveurs de déploiement exécutant WDS et MDT, je me suis donc aidé de vos tutos pour me guider.
Mais aujourd’hui, je fais face à une nouvelle problématique dont je crois pas avoir vu sur ces pages.
En fait, à la cellule informatique ou je me trouve, est installée un Windows serveur, avec deux partitions, une contenant l’installation de la machines et des outils, et une autre pour le répertoire de déploiement. Cette cellule informatique est placé sur un sous réseau, ou on fait alors nos déploiements.
Aujourd’hui, je dois réfléchir au moyen de mettre en place cet outil de déploiement dans les autres lieux de travail, placé sur d’autre sous réseaux, et des lieux géographiques différents.
Comment faire?
Le répertoire de déploiement doit-il être « cloné » ailleurs, dans les autres sites géographiques?
Comment sera joint alors le serveur WDS, pour booter sur le réseau?
Enfin ma vraie question c’est surtout, est-ce que je dois mettre en place un nouveau serveur? Ou juste un nouveau point de stockage? Ou donner accès au serveur déjà existant à distant?
En attente d’une réponse à ma question, qui je l’avoue doit être peu compréhensible.
Merci d’avance.
Bonjour Aymerick,
Effectivement, je n’ai pas encore eu l’occasion d’évoquer ces notions de réplications multi-sites « MDT ». Sauf indirectement ici http://www.it-connect.fr/custpe-comment-utiliser-un-bootstrap-generique/
En général, les serveurs de déploiement WDS et/ou MDT doivent être au plus près (au sens réseau 🙂 ) des postes à masteriser (à moins que l’opération ne soit effectuée en « atelier »)
Pour le PXE (WDS), il est possible de redistribuer l’amorçage via des relais DHCP mais c’est selon les contraintes de bandes passantes (en WAN c’est plutôt chaud 🙁 ).
En fait, il existe plusieurs approches qui dépendent principalement des liaisons inter-sites. De base, le MDT propose les « Linked Deployment Shares » dans la rubrique « Advanced configuration ». Ce mécanisme permet de sélectionner les dossiers à répliquer (profil de sélection) et les serveurs MDT destination. Au besoin, on peut opter pour une régénération des images de boot et/ou une fusion des contenus.
Le problème est principalement lié à la taille des transferts, particulièrement les images WIM. Une infrastructure DFS, ou des solutions de réplication différentielle peuvent faciliter cette contrainte, mais c’est un vaste sujet… Pour les 1eres ou les modifs volumineuses, il est conseillé de transférer les fichiers par une autre méthode, puis d’utiliser les « Linked Deployment Shares » pour ajuster…
En résumé, c’est une vrai question d’architecture, dans laquelle il faut peser les « PROs&CONs », mais il est pratiquement certain que celà impliquera des nouveaux serveurs sur les différents sites pour y stocker les repliques (De petits NAS ou « Filers » peuvent faire l’affaire).
Bon courage
Bonjour,
Je voudrais te remercier d’avoir prit ce temps pour me fournir une réponse qui est bien plus que complète.
Je vais donc étudier les notions dont tu m’as parlé, afin de savoir ce que je pourrais proposer à l’entreprise, sachant que je ne pense pas avoir le temps de mettre ça en place avant la fin de mon stage.
Depuis que j’ai découvert votre site durant ce stage, en cherchant au début que des pistes pour faire évoluer les serveurs WDS/MDT, j’aime bien y lire différents articles, du moins, les introductions, afin de connaître les différentes problématiques concernant mon domaines d’étude. Je trouve ça très clairs et enrichissant. 🙂
Bonjour,
Je viens vers vous après avoir suivi « plutôt » rigoureusement votre tutoriel sur MDT… deux fois… ^^
J’ai tout d’abord intaller et configurer cela sur un poste lambda « mdt1 » (en windows server 2012) qui a fonctionné relativement bien puis sur un serveur « mdt2 » (en windows server 2012 R2) qui là me pose un peu de soucis.
Je m’explique, j’ai créer un nouveau lite touch sur mon « mdt2 », j’ai récupérer les pilotes/applications ainsi que les fichiers de conf (bootstrap et customsetting), je pensais donc que le déploiement se ferait similairement, mais lors du boot PXE, l’interface credentials est en ANGLAIS (déjà son apparition, malgré le renseignement des identifiants dans bootstrap, me rend perplexe) mais le renseignement se fait sous clavier Qwerty (ceci également est renseigner dans le bootstrap afin de passer en clavier Azerty).
J’ai fais la comparaison des deux configurations pour comprendre pourquoi lors du déploiement sur la fenetre « credential » le renseignement se faisait en clavier Azerty, et sur l’autre en clavier Qwerty (bon tout serait arranger si j’arrivais a faire disparaître cet interface « credentials » et qu’il prenait les identifiants renseigné mais j’ai abandonné ^^).
La seule différence que j’ai trouvé (Et de taille) c’est dans le lite touch créer, et ajouter dans WDS, lorsque je vais vérifier de ce coté là dans les deux machines, le premier lite touch est en version de l’image « 10.0.10586 » et langue(par défaut) Français, tandis que sur la seconde la version de l’image est « 10.0.14393 »et langue(par défaut) Anglais !!!! TADAMMMMM
Bon, arrivé là, je me dit j’ai trouvé le soucis sauf que hum, comment changer cela ???? Langues(autres) est vide pour les deux lite touch donc je doute pouvoir troqué l’anglais par le français, et je pense que cela viens de là que la ligne « KeyboardLocalePE=040c:0000040c » ne fonctionne pas dans le bootstrap.
Bon, j’espère ne pas avoir été trop imprécis et m’être bien expliqué, merci de votre aide s’il vous plait ^^
Bonjour Kevin,
Ce symptôme provient simplement de l’ADK installé (localisé en anglais).
Il faut modifier le noyau x64 (et/ou x86) situé dans « C:\Program Files (x86)\Windows Kits\10\Assessment and Deployment Kit\Windows Preinstallation Environment\amd64\en-us\winpe.wim »
Par exemple (remplacer %winpe% par le chemin précité)
dism /Mount-Wim /WimFile: »%winpe%\winpe.wim » /index:1 /MountDir:C:\mount
dism /image:c:\Mount /get-intl
rem – affiche les reglages du noyau (en-us)
dism /image:C:\mount /Set-InputLocale:fr-FR
dism /image:C:\mount /Set-UserLocale:fr-FR
dism /image:C:\mount /Set-SySLocale:fr-FR
dism /image:C:\mount /Set-TimeZone: »Romance Standard Time »
rem – affiche les reglages du noyau (fr-fr)
dism /image:c:\Mount /get-intl
dism /unmount-Wim /MountDir:C:\mount /Commit
Relance la fabrication d’image LTI via MDT (update Deploymentshare) et normalement, ça marche
Bonne continuation
Christophe
Rebonjour,
Je te remercie tout d’abord de m’avoir répondu et aiguillé vers une solution ^^
J’ai une petite erreur qui me demande la dernière version de dism, j’ai pourtant le dernier ADK (j’ai peut-être rien compris de ce que peux être la dernière version de DISM).
Faut-il que ce soit la dernière version de l’ADK qui soit installer dans le winpe.wim ? (si c’est cela, là je suis vraiment perdu ^^)
Je me répond à moi-même ^^
Donc voila, étant donné que j’essais d’installer le système d’exploitation windows 10.
J’ai donc essayer les commandes que tu m’a décrite plus haut depuis un windows 10 fonctionnel, et les commandes sont toutes passer correctement.
J’obtiens bien suite à la commande « dism /image:c:\Mount /get-intl »
C:\WINDOWS\system32>dism /image:c:\mount /get-intl
Outil Gestion et maintenance des images de déploiement
Version : 10.0.10240.16384
Version de l’image : 10.0.14393.0
Reporting offline international settings.
Default system UI language : en-US
System locale : fr-FR
Default time zone : Romance Standard Time
User locale for default user : fr-FR
Location : France (GEOID = 84)
Active keyboard(s) : 040c:0000040c
Keyboard layered driver : PC/AT Enhanced Keyboard (101/102-Key)
Installed language(s): en-US
Type : Fully localized language.
L’opération a réussi.
Je n’ai pas encore relancer l’image LTI via MDT mais en tout cas cela semble bien partie, Merci pour tout.